La cérémonie d'ouverture de cet atelier a été présidée par M. Dominique Ngouadakpa, Inspecteur Central chargé de l’administration et des finances au ministère des Eaux, Forêts, Chasse et Pêche.
L’objectif est de faire connaître les PCI nationaux de gestion durable des forêts et recueillir l’unanimité autour de ces éléments nationaux afin de doter le pays d’un instrument de gestion forestière de référence.
« le principe des Pci OAB/OIBT (organisation africaine des bois/organisation internationale des bois tropicaux), reprend l’ensemble des objectifs de la légalité dont l’usage se manifestera dans le cadre des mécanismes du plan d’action sur l’application des réglementations forestières et la gouvernance ( FLEGT), notamment la définition d’une grille de la légalité qui intègre la question des peuples autochtones et la gouvernance », a souligné M. Paul Doko, vice président du groupe national de travail (GNT).
Selon M. Doko, parmi les autres usages des PCI qui méritent d’être relevés, il y a les audits forestiers qui sont l'évaluation de conformité à la gestion durable et appliquent la grille des PCI de toutes sortes.
« Toutefois, conformément à la déclaration de Paris en 2005, relative à l’efficacité de l’aide publique au développement, il s'agit de s’approprier des outils harmonieux de suivi évaluation des progrès politiques », a fait remarquer le vice président du groupe national de travail.
« La grille PCI peut constituer un support de travail important pour enrichir le rapport annuel sur la gestion des forêts », a-t-il indiqué.
« Cet atelier qui confirme la volonté politique du gouvernement centrafricain à mettre en œuvre le plan de convergence de la commission des forêts d’Afrique centrale (COMIFAC) conformément à la déclaration des chefs d’Etat de Yaoundé 1999, survient à propos pour témoigner de l’engagement de notre cher pays vers une amélioration de la gouvernance, qui se traduit entre autres par l’ouverture très prochaine des négociations avec l’Union Européenne dans le cadre du processus FLEGT », a déclaré M. Ngouadakpa.
« Il constitue ainsi, pour notre pays, l’opportunité de se doter d’un instrument d’appréciation des progrès réalisés dans les stratégies nationales de gestion forestière et permet d’évaluer la conformité des pratiques forestières en vigueur en RCA », a-t-il précisé.
Pour lui, « le document issu de ces journées, et qui prendra en compte les aspects liés à la responsabilité sociale et environnementale, constituera donc un cadre national d’audit forestier qui nous permettra de faire le pas en plus en faveur de la mise en place des normes nationales de certification ».
Rappelons qu’en Centrafrique, le groupe national de travail a été mis en place en septembre 2006, et que dès octobre 2006, celui-ci élabora la première mouture des PCI nationaux de gestion durable des forêts.
L’objectif est de faire connaître les PCI nationaux de gestion durable des forêts et recueillir l’unanimité autour de ces éléments nationaux afin de doter le pays d’un instrument de gestion forestière de référence.
« le principe des Pci OAB/OIBT (organisation africaine des bois/organisation internationale des bois tropicaux), reprend l’ensemble des objectifs de la légalité dont l’usage se manifestera dans le cadre des mécanismes du plan d’action sur l’application des réglementations forestières et la gouvernance ( FLEGT), notamment la définition d’une grille de la légalité qui intègre la question des peuples autochtones et la gouvernance », a souligné M. Paul Doko, vice président du groupe national de travail (GNT).
Selon M. Doko, parmi les autres usages des PCI qui méritent d’être relevés, il y a les audits forestiers qui sont l'évaluation de conformité à la gestion durable et appliquent la grille des PCI de toutes sortes.
« Toutefois, conformément à la déclaration de Paris en 2005, relative à l’efficacité de l’aide publique au développement, il s'agit de s’approprier des outils harmonieux de suivi évaluation des progrès politiques », a fait remarquer le vice président du groupe national de travail.
« La grille PCI peut constituer un support de travail important pour enrichir le rapport annuel sur la gestion des forêts », a-t-il indiqué.
« Cet atelier qui confirme la volonté politique du gouvernement centrafricain à mettre en œuvre le plan de convergence de la commission des forêts d’Afrique centrale (COMIFAC) conformément à la déclaration des chefs d’Etat de Yaoundé 1999, survient à propos pour témoigner de l’engagement de notre cher pays vers une amélioration de la gouvernance, qui se traduit entre autres par l’ouverture très prochaine des négociations avec l’Union Européenne dans le cadre du processus FLEGT », a déclaré M. Ngouadakpa.
« Il constitue ainsi, pour notre pays, l’opportunité de se doter d’un instrument d’appréciation des progrès réalisés dans les stratégies nationales de gestion forestière et permet d’évaluer la conformité des pratiques forestières en vigueur en RCA », a-t-il précisé.
Pour lui, « le document issu de ces journées, et qui prendra en compte les aspects liés à la responsabilité sociale et environnementale, constituera donc un cadre national d’audit forestier qui nous permettra de faire le pas en plus en faveur de la mise en place des normes nationales de certification ».
Rappelons qu’en Centrafrique, le groupe national de travail a été mis en place en septembre 2006, et que dès octobre 2006, celui-ci élabora la première mouture des PCI nationaux de gestion durable des forêts.