« Cette réunion consultative va offrir une opportunité à tous ceux qui sont impliqués dans cet engagement en République centrafricaine de mesurer l’impact et l’engagement international en matière d’efficacité de l’aide et améliorer la compréhension commune de la conception de la construction de la paix et du renforcement de l’Etat. Elle permettra de passer en revue le progrès réalisés dans la mise en œuvre de chacun des dix principes », a indiqué M. Maliko.
Il a ajouté que le but de cet engagement est d’améliorer l’impact de toutes les initiatives en faveur d’un progrès durable et irréversible pour la construction de la paix, le renforcement de l’Etat et la lutte contre la pauvreté.
Selon lui, l’engagement international doit s’appuyer sur un dialogue constructif dans chaque pays, s’enrichir des progrès et s’armer pour relever les défis dans la mise en œuvre des principes.
« Il convient de rappeler que la RCA a traversé, au cours de ces deux dernières décennies, des crises militaro-politiques qui ont largement entamé ses ressources, freiné la valorisation de ses potentialités et mis à mal le capital humain. Ces crises ont fragilisé l’appareil étatique que nous tentons de reconstruire peu à peu, depuis le retour de la égalité constitutionnelle en 2005 », a-t-il rappelé.
M. Jean-Pierre Vidon s’est, quant à lui, réjoui de la désignation de la France comme « point focal » des donateurs et de la responsabilité que cela implique dans un pays qui demeure, malgré le soutien significatif de ses partenaires internationaux, l’un des « orphelins de l’aide » dont la situation risque encore de s’aggraver avec les conséquences directes ou indirectes de la crise financière.
« Il s’agit là d’un exercice nouveau et très prometteur, au-delà de la question des montants de l’aide internationale et du retour souhaité de certains donateurs pour sortir de cette situation préjudiciable d’ « orphelin de l’aide », a précisé l’Ambassadeur.
Il convient de rappeler que le comité d'organisation de la Commission de consolidation de la paix (CCP), lors de sa 6ème réunion le 12 juin 2008, a décidé de placer la République centrafricaine à l'ordre du jour de la CCP, a écouté en plénière le plaidoyer du chef de l'Etat centrafricain, François Bozizé et a élu le représentant permanent de la Belgique auprès des Nations Unies, l'ambassadeur Jan Grauls, comme président de la configuration spécifique pour la RCA et le CCP.
Il a ajouté que le but de cet engagement est d’améliorer l’impact de toutes les initiatives en faveur d’un progrès durable et irréversible pour la construction de la paix, le renforcement de l’Etat et la lutte contre la pauvreté.
Selon lui, l’engagement international doit s’appuyer sur un dialogue constructif dans chaque pays, s’enrichir des progrès et s’armer pour relever les défis dans la mise en œuvre des principes.
« Il convient de rappeler que la RCA a traversé, au cours de ces deux dernières décennies, des crises militaro-politiques qui ont largement entamé ses ressources, freiné la valorisation de ses potentialités et mis à mal le capital humain. Ces crises ont fragilisé l’appareil étatique que nous tentons de reconstruire peu à peu, depuis le retour de la égalité constitutionnelle en 2005 », a-t-il rappelé.
M. Jean-Pierre Vidon s’est, quant à lui, réjoui de la désignation de la France comme « point focal » des donateurs et de la responsabilité que cela implique dans un pays qui demeure, malgré le soutien significatif de ses partenaires internationaux, l’un des « orphelins de l’aide » dont la situation risque encore de s’aggraver avec les conséquences directes ou indirectes de la crise financière.
« Il s’agit là d’un exercice nouveau et très prometteur, au-delà de la question des montants de l’aide internationale et du retour souhaité de certains donateurs pour sortir de cette situation préjudiciable d’ « orphelin de l’aide », a précisé l’Ambassadeur.
Il convient de rappeler que le comité d'organisation de la Commission de consolidation de la paix (CCP), lors de sa 6ème réunion le 12 juin 2008, a décidé de placer la République centrafricaine à l'ordre du jour de la CCP, a écouté en plénière le plaidoyer du chef de l'Etat centrafricain, François Bozizé et a élu le représentant permanent de la Belgique auprès des Nations Unies, l'ambassadeur Jan Grauls, comme président de la configuration spécifique pour la RCA et le CCP.