Ouverte par le ministre de l'Environnement et de l'Ecologie François Naouéyama, cette journée visait à informer et sensibiliser les responsables des médias non seulement sur les conséquences néfastes du réchauffement climatique mais également sur les enjeux de la quinzième conférence de la communauté internationale sur l’environnement, prévue en décembre 2009 à Copenhague, au Danemark.
« Les pays industrialisés émettent des Gaz à effet de serre (GES), il va de soit que la population concernée soit sensibilisée », a déclaré M. Naouéyama, qui a souligné l'importance du rôle de la presse appelée à mettre en garde la population contre les actes de tous les jours qui nuisent à l'environnement.
Il a fustigé l’utilisation des sachets en plastique qui, selon le ministre, dégrade l’environnement en République centrafricaine et proposé comme solution la fabrication de sachets biodégradables.
« C’est de ce danger que nous essayons de parler afin d’amener chacun de nous à œuvrer dans le sens de l’atténuation de ce réchauffement climatique », a-t-il indiqué.
Pour la chargée de programme environnement et énergie au PNUD, Mme Aline Malibangar, la République centrafricaine doit arriver à Copenhague avec des propositions concrètes intégrant à la fois les préoccupations nationales, régionales et internationales qui visent la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) responsables du réchauffement de la terre.
Elle a par ailleurs indiqué que la République centrafricaine est déjà engagée avec l’appui de PNUD dans le processus de négociation en vue d'arriver à Copenhague avec une proposition pertinente dans l’espoir de mobiliser des ressources destinées à une adaptation urgente aux effets néfastes du changement climatique et contribuer à l’atténuation des (GES) à travers les mécanismes de réduction dont ceux liés aux forêts, notamment la « Réduction des émissions dues à la déforestation et à la dégradation (REDD)".
Mme Malibangar a également souligné que les responsables africains doivent s’engager à réduire leurs émissions de (GES) et répondre aux principes du « Pollueurs-Payeurs" car, a-t-elle conclu, il y a des nouveaux fonds internationaux pour soutenir les pays pauvres appelés « Fonds d’adaptation ».
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« Les pays industrialisés émettent des Gaz à effet de serre (GES), il va de soit que la population concernée soit sensibilisée », a déclaré M. Naouéyama, qui a souligné l'importance du rôle de la presse appelée à mettre en garde la population contre les actes de tous les jours qui nuisent à l'environnement.
Il a fustigé l’utilisation des sachets en plastique qui, selon le ministre, dégrade l’environnement en République centrafricaine et proposé comme solution la fabrication de sachets biodégradables.
« C’est de ce danger que nous essayons de parler afin d’amener chacun de nous à œuvrer dans le sens de l’atténuation de ce réchauffement climatique », a-t-il indiqué.
Pour la chargée de programme environnement et énergie au PNUD, Mme Aline Malibangar, la République centrafricaine doit arriver à Copenhague avec des propositions concrètes intégrant à la fois les préoccupations nationales, régionales et internationales qui visent la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) responsables du réchauffement de la terre.
Elle a par ailleurs indiqué que la République centrafricaine est déjà engagée avec l’appui de PNUD dans le processus de négociation en vue d'arriver à Copenhague avec une proposition pertinente dans l’espoir de mobiliser des ressources destinées à une adaptation urgente aux effets néfastes du changement climatique et contribuer à l’atténuation des (GES) à travers les mécanismes de réduction dont ceux liés aux forêts, notamment la « Réduction des émissions dues à la déforestation et à la dégradation (REDD)".
Mme Malibangar a également souligné que les responsables africains doivent s’engager à réduire leurs émissions de (GES) et répondre aux principes du « Pollueurs-Payeurs" car, a-t-elle conclu, il y a des nouveaux fonds internationaux pour soutenir les pays pauvres appelés « Fonds d’adaptation ».
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