Les assises de Bangui connaissent la participation des pays de la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC), à savoir le Congo Brazzaville, le Gabon, le Tchad, le Cameroun, la République Centrafricaine, la Guinée Equatoriale, Sao Tomé et Principe ainsi que les pays de la Communauté Economique de l’Afrique Centrale (CEAC), le Burundi, le Rwanda, mais également le Congo démocratique et l’Angola qui sont en attente d’adhésion.
Les objectifs de l’ARTAC sont entre autres la mise en place de structures législatives et réglementaires modernes pour ce qui concerne la fourniture des services de télécommunications dans tous les Etats de la sous région, les projets de libéralisation et de concurrence en vue de renforcer les réseaux et d’améliorer l’efficacité des services de télécommunication dans la sous région.
Un autre objectif spécifique est l’intégration graduelle des mécanismes réglementaires à l’intégration des marchés des télécommunications de la sous région.
Le Président de l’ARTAC, M. Valery Saï, a déclaré que les télécommunications sont rentrées dans une nouvelle ère de croissance mondiale spectaculaire et « constituent le support de la 3ème révolution de l’information, après celle agricole et industrielle ».
M. Saï a réaffirmé que « les mutations technologiques, les forces du marché et la mondialisation ont amené les Etats à privatiser le secteur des télécommunications ».
« L’Afrique Centrale, à l’instar des autres sous régions du continent africain, ne pourrait pas continuellement demeurer en marge d’un phénomène prenant de l’ampleur et constituant un véritable pôle de coopération », a-t-il déclaré.
Notons que l’Association des Régulateurs des Télécommunications de l’Afrique Centrale est née à l’issue de l’Assemblée générale tenue à Yaoundé les 24 et 25 novembre 2004.
L’ARTAC est une organisation interétatique, fruit de la coopération technique décentralisée des agences gouvernementales de régulation des télécommunications d’Afrique Centrale.
Les objectifs de l’ARTAC sont entre autres la mise en place de structures législatives et réglementaires modernes pour ce qui concerne la fourniture des services de télécommunications dans tous les Etats de la sous région, les projets de libéralisation et de concurrence en vue de renforcer les réseaux et d’améliorer l’efficacité des services de télécommunication dans la sous région.
Un autre objectif spécifique est l’intégration graduelle des mécanismes réglementaires à l’intégration des marchés des télécommunications de la sous région.
Le Président de l’ARTAC, M. Valery Saï, a déclaré que les télécommunications sont rentrées dans une nouvelle ère de croissance mondiale spectaculaire et « constituent le support de la 3ème révolution de l’information, après celle agricole et industrielle ».
M. Saï a réaffirmé que « les mutations technologiques, les forces du marché et la mondialisation ont amené les Etats à privatiser le secteur des télécommunications ».
« L’Afrique Centrale, à l’instar des autres sous régions du continent africain, ne pourrait pas continuellement demeurer en marge d’un phénomène prenant de l’ampleur et constituant un véritable pôle de coopération », a-t-il déclaré.
Notons que l’Association des Régulateurs des Télécommunications de l’Afrique Centrale est née à l’issue de l’Assemblée générale tenue à Yaoundé les 24 et 25 novembre 2004.
L’ARTAC est une organisation interétatique, fruit de la coopération technique décentralisée des agences gouvernementales de régulation des télécommunications d’Afrique Centrale.