M. Sallé a déclaré que « la mission de la police est de garantir la sécurité des personnes et des biens, de maintenir ou de rétablir l’ordre public, de constater des infractions à la loi pénale, d’en rassembler les preuves, de rechercher les auteurs et de les présenter devant les juridictions compétentes ».
« Une telle mission si spécifique ne peut être accomplie qu’avec un certain nombre de conditions relatives à un cadre juridique et des moyens humains et matériels appropriés », a précisé M. Sallé, relevant que le monde est en perpétuelle mutation, ainsi « la police centrafricaine se doit de se remettre en cause de temps à autres, en s’auto évaluant pour faire un bond dans l’avenir ».
A cette occasion, le Représentant spécial du Secrétaire Général des Nations Unies, le Général Lamine Cissé, a déclaré que le statut spécial accordé à la police ce n’est pas accessoire, mais une nécessité, précisant que cette disposition réglementée par le gouvernement centrafricain ouvre la voie à la communauté internationale pour aider la RCA à bâtir une nouvelle police aimée par toute la population.
Il a insisté sur le statut spécial qui permettra, selon lui, à la police centrafricaine de maîtriser ses recrutements, la formation initiale de son personnel, leur gestion et leur planification.
Organisé par le ministère de l’Intérieur chargé de la Sécurité Publique avec le concours financier du Bureau de l’Organisation des Nations Unies en Centrafrique (BONUCA), ce séminaire, qui prendra fin le 25 mai prochain, a réuni une cinquantaine de cadres de la Police centrafricaine qui pendant cinq jours vont peaufiner le projet de restructuration de la police centrafricaine.
Il convient de souligner que dans son rapport du 28 décembre 2006 sur la situation de post conflit en République Centrafricaine, le Secrétaire général des Nations Unies avait instruit le BONUCA à orienter ses activités sur la consolidation de la paix en Centrafrique, afin d’assurer la sécurité nationale, d’accélérer la restructuration des forces de défense et de sécurité nationales et de renforcer leurs capacités opérationnelles.
« Une telle mission si spécifique ne peut être accomplie qu’avec un certain nombre de conditions relatives à un cadre juridique et des moyens humains et matériels appropriés », a précisé M. Sallé, relevant que le monde est en perpétuelle mutation, ainsi « la police centrafricaine se doit de se remettre en cause de temps à autres, en s’auto évaluant pour faire un bond dans l’avenir ».
A cette occasion, le Représentant spécial du Secrétaire Général des Nations Unies, le Général Lamine Cissé, a déclaré que le statut spécial accordé à la police ce n’est pas accessoire, mais une nécessité, précisant que cette disposition réglementée par le gouvernement centrafricain ouvre la voie à la communauté internationale pour aider la RCA à bâtir une nouvelle police aimée par toute la population.
Il a insisté sur le statut spécial qui permettra, selon lui, à la police centrafricaine de maîtriser ses recrutements, la formation initiale de son personnel, leur gestion et leur planification.
Organisé par le ministère de l’Intérieur chargé de la Sécurité Publique avec le concours financier du Bureau de l’Organisation des Nations Unies en Centrafrique (BONUCA), ce séminaire, qui prendra fin le 25 mai prochain, a réuni une cinquantaine de cadres de la Police centrafricaine qui pendant cinq jours vont peaufiner le projet de restructuration de la police centrafricaine.
Il convient de souligner que dans son rapport du 28 décembre 2006 sur la situation de post conflit en République Centrafricaine, le Secrétaire général des Nations Unies avait instruit le BONUCA à orienter ses activités sur la consolidation de la paix en Centrafrique, afin d’assurer la sécurité nationale, d’accélérer la restructuration des forces de défense et de sécurité nationales et de renforcer leurs capacités opérationnelles.