L’objectif de cette session de formation est d’informer et présenter les droits humains et des enfants, comment assurer la promotion des droits humains et de mettre en place un réseau de protection des enfants et réduire le nombre de violations des droits humains.
Organisée par l’AFJC avec l’appui financier du Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF), cette session de formation a réuni une trentaine de Préfets, sous Préfets et les Chefs de délégation spéciale des zones touchées par les conflits, qui pendant cinq (5) vont être édifiés entre autres sur les mécanismes internationaux de protection des Droits de l’Homme, les mécanismes de protection des Droits de l’Enfant, la convention sur les Droits de l’Enfant, la charte africaine pour le bien être de l’Enfant, la procédure de protection des enfants contre les mauvais traitements, la négligence et le Droit international humanitaire.
M Zingas a déclaré que la République Centrafricaine a traversé des crises sociales et militaro-politique récurrentes, laissant des conséquences désastreuses sur la population et surtout les couches les plus vulnérables qui sont les femmes et les enfants, mérite une attention soutenue de la part du gouvernement.
Il a souligné que L’Afjc et l’Unicef saisissent cette opportunité pour attirer l’attention des autorités des zones de conflits sur le rôle qui consiste de veiller sur la protection au quotidien de la convention relative aux droits de l’Enfant.
« Le gouvernement centrafricain s’engage pour sa part d’une manière solennelle à veiller à son application et à rédiger périodiquement un rapport fiable sur la situation des enfants en République Centrafricaine», a conclu M. Zingas.
La chargée du Programme protection de l’Enfant à l’Unicef, Mme. Chantal Amokomayen a relevé que « les activités de surveillance des droits humains en général et celles des femmes et des enfants en particulier constituent une urgence », ajoutant que cela est de même que celles menées dans les domaines de la santé et de l’éducation.
« Pour cela, il est important d’avoir une idée claire de l’ampleur de ces problèmes dans les localités touchées par les conflits, pour soutenir les interventions humanitaires en faveur des enfants et des femmes déplacés », a précisé Mme Amokomayen, relavant qu’il est nécessaires d’outiller les autorités locales pour mieux assurer la surveillance des cas de violations graves des droits des enfants et sur les formes de violences liées aux questions de Genre, à l’abus et l’exploitation des enfants.
Rappelons que cette session de formation vient compléter les actions déjà menées par le gouvernement centrafricain en faveur des droits de l’enfant en Centrafrique, à savoir la ratification de la convention relative aux droits de l’enfant, la mise en place du comité national de suivi de la convention relative aux droits de l’enfant, la création des tribunaux pour enfant et la formation des juges pour l’enfant.
Organisée par l’AFJC avec l’appui financier du Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF), cette session de formation a réuni une trentaine de Préfets, sous Préfets et les Chefs de délégation spéciale des zones touchées par les conflits, qui pendant cinq (5) vont être édifiés entre autres sur les mécanismes internationaux de protection des Droits de l’Homme, les mécanismes de protection des Droits de l’Enfant, la convention sur les Droits de l’Enfant, la charte africaine pour le bien être de l’Enfant, la procédure de protection des enfants contre les mauvais traitements, la négligence et le Droit international humanitaire.
M Zingas a déclaré que la République Centrafricaine a traversé des crises sociales et militaro-politique récurrentes, laissant des conséquences désastreuses sur la population et surtout les couches les plus vulnérables qui sont les femmes et les enfants, mérite une attention soutenue de la part du gouvernement.
Il a souligné que L’Afjc et l’Unicef saisissent cette opportunité pour attirer l’attention des autorités des zones de conflits sur le rôle qui consiste de veiller sur la protection au quotidien de la convention relative aux droits de l’Enfant.
« Le gouvernement centrafricain s’engage pour sa part d’une manière solennelle à veiller à son application et à rédiger périodiquement un rapport fiable sur la situation des enfants en République Centrafricaine», a conclu M. Zingas.
La chargée du Programme protection de l’Enfant à l’Unicef, Mme. Chantal Amokomayen a relevé que « les activités de surveillance des droits humains en général et celles des femmes et des enfants en particulier constituent une urgence », ajoutant que cela est de même que celles menées dans les domaines de la santé et de l’éducation.
« Pour cela, il est important d’avoir une idée claire de l’ampleur de ces problèmes dans les localités touchées par les conflits, pour soutenir les interventions humanitaires en faveur des enfants et des femmes déplacés », a précisé Mme Amokomayen, relavant qu’il est nécessaires d’outiller les autorités locales pour mieux assurer la surveillance des cas de violations graves des droits des enfants et sur les formes de violences liées aux questions de Genre, à l’abus et l’exploitation des enfants.
Rappelons que cette session de formation vient compléter les actions déjà menées par le gouvernement centrafricain en faveur des droits de l’enfant en Centrafrique, à savoir la ratification de la convention relative aux droits de l’enfant, la mise en place du comité national de suivi de la convention relative aux droits de l’enfant, la création des tribunaux pour enfant et la formation des juges pour l’enfant.