Selon la conseillère du Représentant spécial du Secrétaire général des Nations unies en Centrafrique Mme Laura Linarès, cette formation a pour objectif principal de renforcer les capacités du personnel sanitaire militaire. Car, a-t-elle précisé, « la question des ressources humaines constitue en réalité une préoccupation majeure pour toute institution qui veut relever le défi de son temps ».
Elle a également relevé que «la santé est l’un des éléments clés de soutien logistique en temps de paix comme en temps de guerre ». C’est pourquoi a-t-elle poursuivi, « il faut former des militaires capables de suivre les différents détachements sur le terrain ».
Il convient de rappeler que cette formation vise également à rajeunir le métier et à rehausser le niveau du personnel de santé militaire.
Elle a enfin fait remarquer que « cette formation participe de la volonté des autorités militaires centrafricaines de mettre en place un service de santé structuré et apte à répondre aux besoins de l’institution militaire d’une part, des populations d’autre part, dans la perspective de l’intégration Armée-Nation ».
Le colonel Alphonse Kossiguénébèm, directeur général de service de santé des forces armées Centrafricaines a pour sa part émis le vœu que le Bonuca continue de soutenir son service. Il a également souhaité que d’autres formations soient organisées afin de permettre à son service de contourner les problèmes de ressources humaines. Car, a-t-il fait remarquer, « par le départ à la retraite ,il y aura quelques éléments que nous perdrons d’ici peu ».
Il a en outre demandé aux stagiaires de faire preuve de conscience professionnelle. Car, « quand on choisit d’être personnel médical, c’est qu’on se donne entièrement pour les autres; on doit se donner sans fin, de jour comme de nuit ».
Précisons que 20 militaires de rangs, sergents chefs et caporaux chefs ont pris part à cette formation.
Elle a également relevé que «la santé est l’un des éléments clés de soutien logistique en temps de paix comme en temps de guerre ». C’est pourquoi a-t-elle poursuivi, « il faut former des militaires capables de suivre les différents détachements sur le terrain ».
Il convient de rappeler que cette formation vise également à rajeunir le métier et à rehausser le niveau du personnel de santé militaire.
Elle a enfin fait remarquer que « cette formation participe de la volonté des autorités militaires centrafricaines de mettre en place un service de santé structuré et apte à répondre aux besoins de l’institution militaire d’une part, des populations d’autre part, dans la perspective de l’intégration Armée-Nation ».
Le colonel Alphonse Kossiguénébèm, directeur général de service de santé des forces armées Centrafricaines a pour sa part émis le vœu que le Bonuca continue de soutenir son service. Il a également souhaité que d’autres formations soient organisées afin de permettre à son service de contourner les problèmes de ressources humaines. Car, a-t-il fait remarquer, « par le départ à la retraite ,il y aura quelques éléments que nous perdrons d’ici peu ».
Il a en outre demandé aux stagiaires de faire preuve de conscience professionnelle. Car, « quand on choisit d’être personnel médical, c’est qu’on se donne entièrement pour les autres; on doit se donner sans fin, de jour comme de nuit ».
Précisons que 20 militaires de rangs, sergents chefs et caporaux chefs ont pris part à cette formation.