Lors de son séjour à Bangui, la Vice-présidente de la Banque Mondiale visitera les sites des projets financés par la Banque Mondiale tels que la radio nationale qui bénéficie d’un appui destiné à renforcer la communication entre la capitale et l’intérieur du pays et les chantiers du projet d’urgence de réhabilitation des services urbains (PURISU) qui a réalisé dans la capitale, Bangui, des travaux d’ouverture de canaux de drainage, de gestion de déchets solides, etc.
Le renforcement des initiatives de promotion du commerce interafricain et de l’intégration sous-régionale figure également en bonne place au menu des entretiens de Mme Ezekweseli, qui devrait rencontrer les hautes autorités centrafricaines ainsi que les représentants de la société civile et du secteur privé.
Elle devrait également profiter de son séjour en Centrafrique pour faire un plaidoyer en faveur d’une augmentation des investissements au profit des couches les plus défavorisées, à savoir les enfants, les femmes et les personnes déplacées du fait des conflits.
La visite de Mme Ezekweseli intervient au moment où les préparatifs des élections générales de 2010 entrent dans la phase décisive, suscitant un regain d’intérêt de la communauté internationale, à l’exemple de la Commission de Consolidation de la Paix des Nations Unies dont une délégation se trouve actuellement à Bangui pour la première revue semestrielle du cadre stratégique de consolidation de la paix.
Cette visite apparaît comme un encouragement à l’Etat centrafricain, dont les efforts pour redresser l’économie et réduire la pauvreté, notamment par la mise en œuvre d’un Document de stratégie de réduction de la pauvreté (DSRP), sont payés en retour par une augmentation continue de l’enveloppe de la Banque Mondiale, qui est passée de 82 millions de dollars en 2006, année de la reprise des activités de la Banque, à 197,6 millions de dollars actuellement.
Ce financement est destiné aux secteurs du transport (46%), de l’éducation (19%), du développement urbain (9%), de la lutte contre le VIH/sida, du développement rural, de l’énergie, des télécommunications et du développement social.
Le renforcement des initiatives de promotion du commerce interafricain et de l’intégration sous-régionale figure également en bonne place au menu des entretiens de Mme Ezekweseli, qui devrait rencontrer les hautes autorités centrafricaines ainsi que les représentants de la société civile et du secteur privé.
Elle devrait également profiter de son séjour en Centrafrique pour faire un plaidoyer en faveur d’une augmentation des investissements au profit des couches les plus défavorisées, à savoir les enfants, les femmes et les personnes déplacées du fait des conflits.
La visite de Mme Ezekweseli intervient au moment où les préparatifs des élections générales de 2010 entrent dans la phase décisive, suscitant un regain d’intérêt de la communauté internationale, à l’exemple de la Commission de Consolidation de la Paix des Nations Unies dont une délégation se trouve actuellement à Bangui pour la première revue semestrielle du cadre stratégique de consolidation de la paix.
Cette visite apparaît comme un encouragement à l’Etat centrafricain, dont les efforts pour redresser l’économie et réduire la pauvreté, notamment par la mise en œuvre d’un Document de stratégie de réduction de la pauvreté (DSRP), sont payés en retour par une augmentation continue de l’enveloppe de la Banque Mondiale, qui est passée de 82 millions de dollars en 2006, année de la reprise des activités de la Banque, à 197,6 millions de dollars actuellement.
Ce financement est destiné aux secteurs du transport (46%), de l’éducation (19%), du développement urbain (9%), de la lutte contre le VIH/sida, du développement rural, de l’énergie, des télécommunications et du développement social.