Ousmane Shekou de l'OIF, Photo-ACAP/Soupou
La communication sur la coopération internationale triangulaire a été l’occasion pour M. Shékou Ousmane, chargé de programme à l’OIF de présenter des initiatives pilotes soutenues par son organisation entre certains pays de l’espace francophones (Vietnam, Sénégal, Bénin, Madagascar).
Ces expériences consistant à combiner le savoir-faire d’un pays avec les matières premières d’un autre pays de l’espace francophone partent de l’idée que « le principe du commerce sans aide est désormais dépassé », a indiqué M. Shekou, pour qui la politique devrait enfin se mêler des affaires du monde, ainsi que l’a préconisé le Rapport Taubira (députée française de Guyane) en juillet 2008.
A l’appui de cette idée, M. Joseph Kiticki Kouamba, président du séminaire et conseiller diplomatique du chef de l’Etat centrafricain, a exhorté les pays d’Afrique Centrale a saisir l’opportunité offerte par la coopération internationale triangulaire pour former leurs ressources humaines car, a-t-il déploré, « nous avons tous les avantages du climat en Afrique Centrale, notre sous-sol est très riche, mais nous n’avons pas formé ».
Après ce premier round consacré au thème des négociations dans le cadre du système multilatéral, les travaux du séminaire devraient entrer dans le vif du sujet, avec les négociations de l’APE proprement dites, qui seront examinées sous différents angles, à savoir le cadre juridique, l’état actuel des négociations et le financement du partenariat.
Ouvert lundi à Bangui par le président de l’Assemblée Nationale centrafricaine, ce séminaire financé par l’OIF et le gouvernement centrafricain devrait prendre fin le mercredi 14 janvier sous la présidence du président centrafricain François Bozizé, président en exercice de la Communauté économique et monétaire des Etats de l’Afrique Centrale depuis juin 2008.
Ces expériences consistant à combiner le savoir-faire d’un pays avec les matières premières d’un autre pays de l’espace francophone partent de l’idée que « le principe du commerce sans aide est désormais dépassé », a indiqué M. Shekou, pour qui la politique devrait enfin se mêler des affaires du monde, ainsi que l’a préconisé le Rapport Taubira (députée française de Guyane) en juillet 2008.
A l’appui de cette idée, M. Joseph Kiticki Kouamba, président du séminaire et conseiller diplomatique du chef de l’Etat centrafricain, a exhorté les pays d’Afrique Centrale a saisir l’opportunité offerte par la coopération internationale triangulaire pour former leurs ressources humaines car, a-t-il déploré, « nous avons tous les avantages du climat en Afrique Centrale, notre sous-sol est très riche, mais nous n’avons pas formé ».
Après ce premier round consacré au thème des négociations dans le cadre du système multilatéral, les travaux du séminaire devraient entrer dans le vif du sujet, avec les négociations de l’APE proprement dites, qui seront examinées sous différents angles, à savoir le cadre juridique, l’état actuel des négociations et le financement du partenariat.
Ouvert lundi à Bangui par le président de l’Assemblée Nationale centrafricaine, ce séminaire financé par l’OIF et le gouvernement centrafricain devrait prendre fin le mercredi 14 janvier sous la présidence du président centrafricain François Bozizé, président en exercice de la Communauté économique et monétaire des Etats de l’Afrique Centrale depuis juin 2008.
Vue de la salle de participants, Photo-ACAP/Soupou