Les documents de ce nouvel accord de paix ont été paraphés du côté du gouvernement, par le Général de Brigade Raymond Dougou, Préfet de l’Ouham Péndé, principal médiateur dans cette affaire et M. Zacharia Damane, chef d’Etat major de la rébellion.
L’accord prévoit la cessation immédiate des hostilités, le cantonnement des troupes de l’UFDR dans un endroit précis, la réhabilitation immédiate des fonctionnaires qui ont rallié la rébellion, une loi d’amnistie assortie de la libération des personnes arrêtées qui ont des relations avec l’UFDR et la participation de l’UFDR à la gestion de l’Etat.
La signature et l’échange des documents ont eu lieu en présence du chef de l’Etat François Bozizé, le Représentant spécial du Secrétaire Général des Nations Unies en Centrafrique, le Général Lamine Cissé et quels représentants du système des Nations unies en Centrafrique notamment, l’UNICEF, le PNUD et le PAM.
Le président Bozizé a réitéré à cette occasion à la population de Birao que sa politique est basée sur le travail, la paix et l’amour.
M. Zacharia Damane a quand à lui profité de l’occasion pour demander pardon à la population de Birao pour les malheureux et regrettables événements survenus les 3 et 4 avril dernier.
Il a évoqué le fait que la région de Birao a été abandonnée depuis longtemps par le pouvoir central et par conséquent, supplié le chef de l’Etat à « penser » à la région de Vakaga.
Il a déclaré que la paix est désormais revenue dans la région de Vakaga et que la population pouvait librement vaquer à ses occupations.
Notez que l’UFDR avait annoncé qu’elle ne se reconnaissait pas dans l’accord signé à Syrte en Libye le 2 février 2007 entre le gouvernement centrafricain et l’opposition armée représentée par Abdoulaye Miskine.
L’accord prévoit la cessation immédiate des hostilités, le cantonnement des troupes de l’UFDR dans un endroit précis, la réhabilitation immédiate des fonctionnaires qui ont rallié la rébellion, une loi d’amnistie assortie de la libération des personnes arrêtées qui ont des relations avec l’UFDR et la participation de l’UFDR à la gestion de l’Etat.
La signature et l’échange des documents ont eu lieu en présence du chef de l’Etat François Bozizé, le Représentant spécial du Secrétaire Général des Nations Unies en Centrafrique, le Général Lamine Cissé et quels représentants du système des Nations unies en Centrafrique notamment, l’UNICEF, le PNUD et le PAM.
Le président Bozizé a réitéré à cette occasion à la population de Birao que sa politique est basée sur le travail, la paix et l’amour.
M. Zacharia Damane a quand à lui profité de l’occasion pour demander pardon à la population de Birao pour les malheureux et regrettables événements survenus les 3 et 4 avril dernier.
Il a évoqué le fait que la région de Birao a été abandonnée depuis longtemps par le pouvoir central et par conséquent, supplié le chef de l’Etat à « penser » à la région de Vakaga.
Il a déclaré que la paix est désormais revenue dans la région de Vakaga et que la population pouvait librement vaquer à ses occupations.
Notez que l’UFDR avait annoncé qu’elle ne se reconnaissait pas dans l’accord signé à Syrte en Libye le 2 février 2007 entre le gouvernement centrafricain et l’opposition armée représentée par Abdoulaye Miskine.