« Le souhait du gouvernement est de voir intégrer dans la seconde phase du processus, l’aspect économique, même si le PRAC ne soit pas un projet de développent », a relevé M. Doté, précisant que le PRAC doit désormais avoir une approche globale dans l’exécution de son programme.
Le coordonnateur de la commission nationale de désarmement, de la démobilisation et de la réinsertion des ex-combattants (CNDDR), M. Côme Zoumara a déclaré à cette occasion que « le défi sécuritaire est une priorité absolue de la politique du gouvernement en vue du relèvement de la nation Centrafricaine meurtrie par plusieurs années d’instabilités de tout genre ».
« Dans un contexte où la RCA se doit de renouer avec un cycle normal de développement pour réduire la pauvreté et pour sa reconstruction, aliéner l’insécurité sur toute l’étendue du territoire national s’impose comme un axe stratégique prioritaire du gouvernement », a précisé M. Zoumara.
Il a rappelé que la mise en œuvre du PRAC a été rendu possible grâce aux financements de la Banque Mondiale et du PNUD, d’un montant global de 11 millions de dollars américains et couvre trois composantes à savoir la démobilisation, la réinsertion des ex-combattants et l’appui aux communautés.
M. Zoumara a indiqué qu’à la date d’aujourd’hui, le PRAC a récupéré au total 297 armes tous calibres confondus, 30.728 cartouches et démobilisé 5516 ex-combattants dont 1285 femmes.
Il faut noter que le PRAC avait prévu démobiliser 7565 ex-combattants.
Il faut également relevé que dans le domaine de la réinsertion, les ex-combattants se sont plus orientés dans le petit commerce (2885) au détriment d’autres activités telles l’élevage (643), la formation technique (555), l’agriculture (433), la pêche (220) et la formation scolaire et universitaire (40).
Le coordonnateur de la commission nationale de désarmement, de la démobilisation et de la réinsertion des ex-combattants (CNDDR), M. Côme Zoumara a déclaré à cette occasion que « le défi sécuritaire est une priorité absolue de la politique du gouvernement en vue du relèvement de la nation Centrafricaine meurtrie par plusieurs années d’instabilités de tout genre ».
« Dans un contexte où la RCA se doit de renouer avec un cycle normal de développement pour réduire la pauvreté et pour sa reconstruction, aliéner l’insécurité sur toute l’étendue du territoire national s’impose comme un axe stratégique prioritaire du gouvernement », a précisé M. Zoumara.
Il a rappelé que la mise en œuvre du PRAC a été rendu possible grâce aux financements de la Banque Mondiale et du PNUD, d’un montant global de 11 millions de dollars américains et couvre trois composantes à savoir la démobilisation, la réinsertion des ex-combattants et l’appui aux communautés.
M. Zoumara a indiqué qu’à la date d’aujourd’hui, le PRAC a récupéré au total 297 armes tous calibres confondus, 30.728 cartouches et démobilisé 5516 ex-combattants dont 1285 femmes.
Il faut noter que le PRAC avait prévu démobiliser 7565 ex-combattants.
Il faut également relevé que dans le domaine de la réinsertion, les ex-combattants se sont plus orientés dans le petit commerce (2885) au détriment d’autres activités telles l’élevage (643), la formation technique (555), l’agriculture (433), la pêche (220) et la formation scolaire et universitaire (40).