Cette formation a pour thème « les techniques d’investigation et de production d’émission thématique sur les violences faites aux femmes ».
L’objectif de cet atelier de formation est de renforcer les capacités des femmes journalistes dans les domaines de l’investigation et de la production d’émissions sur la thématique des violences faites aux femmes.
« Les violences faites aux femmes en général dans le monde entier sont considérées comme une violation des droits humains de la femme. Parmi ces violences, il y a la violence conjugale, les coups et blessures volontaires, les meurtres, l’excision, les viols, les mariages précoces, forcés et le harcèlement sexuel, etc. » a relevé M. Philémon Dérant Lakoue qui représentait le ministre de la communication à l'ouverture de l'atelier.
« C’est pourquoi les médias en général et les femmes professionnelles de la communication en particulier étant les canaux par excellence de sensibilisation de l’opinion sur la nécessité d’un changement de comportement, il s’avère nécessaire de former les communicatrices de Bangui et des provinces sur les questions du genre, les pratiques néfastes et les violences sexuelles », a-t-il ajouté.
Mme Sylvie Panika, présidente de l'AFJC a fait savoir que toutes ces violences fragilisent les femmes et les filles, elles sont réduites à néant et incapables de s'émanciper.
« le nombre relativement peu élevé des femmes journalistes à tout les niveaux aggrave le problème et peut avoir une influence sur le type d’informations produites et diffusées ». « Alors qu’une implication directe des journalistes et de surcroît des femmes donnerait une image plus nette des dommages causés par ces violences, le drame vécu par ces femmes dans leur statut de mères dépossédés, d’épouses violées ou rendues veuves », a- t elle conclu.
Cette formation, censée prendre fin le 13 février prochain, fait suite à celle de mai2009 à Boali, financé par le Bureau des Nations Unies en Centrafrique (Bonuca). Elle regroupe une vingtaine de femmes journalistes de Bangui et des provinces ainsi qu’une dizaine d'étudiantes au département de journalisme de l’Université de Bangui.
L’association des femmes professionnelles de la communication a été créée le 04 mars 2008.
Elle a pour objectif d’œuvrer pour l’amélioration des conditions de vie et de travail de la femme et de renforcer les capacités de ses membres qui sont les femmes journalistes.
L’objectif de cet atelier de formation est de renforcer les capacités des femmes journalistes dans les domaines de l’investigation et de la production d’émissions sur la thématique des violences faites aux femmes.
« Les violences faites aux femmes en général dans le monde entier sont considérées comme une violation des droits humains de la femme. Parmi ces violences, il y a la violence conjugale, les coups et blessures volontaires, les meurtres, l’excision, les viols, les mariages précoces, forcés et le harcèlement sexuel, etc. » a relevé M. Philémon Dérant Lakoue qui représentait le ministre de la communication à l'ouverture de l'atelier.
« C’est pourquoi les médias en général et les femmes professionnelles de la communication en particulier étant les canaux par excellence de sensibilisation de l’opinion sur la nécessité d’un changement de comportement, il s’avère nécessaire de former les communicatrices de Bangui et des provinces sur les questions du genre, les pratiques néfastes et les violences sexuelles », a-t-il ajouté.
Mme Sylvie Panika, présidente de l'AFJC a fait savoir que toutes ces violences fragilisent les femmes et les filles, elles sont réduites à néant et incapables de s'émanciper.
« le nombre relativement peu élevé des femmes journalistes à tout les niveaux aggrave le problème et peut avoir une influence sur le type d’informations produites et diffusées ». « Alors qu’une implication directe des journalistes et de surcroît des femmes donnerait une image plus nette des dommages causés par ces violences, le drame vécu par ces femmes dans leur statut de mères dépossédés, d’épouses violées ou rendues veuves », a- t elle conclu.
Cette formation, censée prendre fin le 13 février prochain, fait suite à celle de mai2009 à Boali, financé par le Bureau des Nations Unies en Centrafrique (Bonuca). Elle regroupe une vingtaine de femmes journalistes de Bangui et des provinces ainsi qu’une dizaine d'étudiantes au département de journalisme de l’Université de Bangui.
L’association des femmes professionnelles de la communication a été créée le 04 mars 2008.
Elle a pour objectif d’œuvrer pour l’amélioration des conditions de vie et de travail de la femme et de renforcer les capacités de ses membres qui sont les femmes journalistes.