Durant cinq jours, les femmes entrepreneurs bénéficieront de séminaires de formation, d'exposés organisés par l’UNPC et exposeront les produits résultants d'activités génératrices de revenus dans divers domaines, à savoir la couture, la restauration et l’artisanat.
Le vice président de l’Union Nationale du Patronat Centrafricain(UNPC), M .Théodore Lawson a demandé aux Centrafricaines de ne pas avoir peur d’entreprendre et de créer des entreprises pour briser la misère et la tyrannie comme l’indique l’hymne national centrafricain.
Il a indiqué que « les résultats qui découleront de ces journées de l’entreprenariat féminin permettront aux secteurs des affaires centrafricaines de rentrer dans une nouvelle phase de mutation positive. »
M. Lawson a par ailleurs relevé que les femmes travaillent généralement pour des salaires,modiques avant de s’interroger sur les conditions de vie de ces dernières.
« Comment améliorer l’entreprenariat féminin, lorsque les responsabilités domestiques dominent le temps du travail, comment améliorer l’entreprenariat en Centrafrique quand le manque de garantie empêche certaines femmes d’accéder aux crédits et enfin comment améliorer l’entreprenariat en Centrafrique si les préjugés liés au concept genres affectent les femmes ainsi que le secteur de choix d’activités.»
Mme. Jelena Pantelic, la représentante par intérim de la Société Financière Internationale (SFI), s’est réjouie de l’initiative et a félicité l’UNPC, avant de définir la mission de la Banque Mondiale qui est de lutter contre la pauvreté.
Quant au rôle de la SFI, elle a affirmé qu’elle a pour rôle de promouvoir le développement du secteur privé afin de lui permettre de contribuer davantage au développement économique du pays en voie de développement.
Le ministre chargé de la Promotion des Petites et Moyennes entreprises et du Guichet Unique, M. Moise Kotayé, a indiqué que cette journée marque un tournant décisif dans l’engagement de la femme centrafricaine d’une manière significative, le changement intervenu dans le comportement de celle-ci, depuis un certain temps.
« Depuis un certain temps, le concept genre est en marche et a fait ses preuves en République Centrafricaine, la femme est l’égale de l’homme dans les échanges, de partage de droit et de devoir de la famille et la participation équitable au développement économique », a-t- il souligné.
Rappelons que ces journées de l’entreprenariat féminin sont organisées par le ministère de la Promotion des Petites et Moyennes Entreprisses et L’Union Nationale de Patronat Centrafricain, avec l’aide financière de la Société Financière Internationale.
Le vice président de l’Union Nationale du Patronat Centrafricain(UNPC), M .Théodore Lawson a demandé aux Centrafricaines de ne pas avoir peur d’entreprendre et de créer des entreprises pour briser la misère et la tyrannie comme l’indique l’hymne national centrafricain.
Il a indiqué que « les résultats qui découleront de ces journées de l’entreprenariat féminin permettront aux secteurs des affaires centrafricaines de rentrer dans une nouvelle phase de mutation positive. »
M. Lawson a par ailleurs relevé que les femmes travaillent généralement pour des salaires,modiques avant de s’interroger sur les conditions de vie de ces dernières.
« Comment améliorer l’entreprenariat féminin, lorsque les responsabilités domestiques dominent le temps du travail, comment améliorer l’entreprenariat en Centrafrique quand le manque de garantie empêche certaines femmes d’accéder aux crédits et enfin comment améliorer l’entreprenariat en Centrafrique si les préjugés liés au concept genres affectent les femmes ainsi que le secteur de choix d’activités.»
Mme. Jelena Pantelic, la représentante par intérim de la Société Financière Internationale (SFI), s’est réjouie de l’initiative et a félicité l’UNPC, avant de définir la mission de la Banque Mondiale qui est de lutter contre la pauvreté.
Quant au rôle de la SFI, elle a affirmé qu’elle a pour rôle de promouvoir le développement du secteur privé afin de lui permettre de contribuer davantage au développement économique du pays en voie de développement.
Le ministre chargé de la Promotion des Petites et Moyennes entreprises et du Guichet Unique, M. Moise Kotayé, a indiqué que cette journée marque un tournant décisif dans l’engagement de la femme centrafricaine d’une manière significative, le changement intervenu dans le comportement de celle-ci, depuis un certain temps.
« Depuis un certain temps, le concept genre est en marche et a fait ses preuves en République Centrafricaine, la femme est l’égale de l’homme dans les échanges, de partage de droit et de devoir de la famille et la participation équitable au développement économique », a-t- il souligné.
Rappelons que ces journées de l’entreprenariat féminin sont organisées par le ministère de la Promotion des Petites et Moyennes Entreprisses et L’Union Nationale de Patronat Centrafricain, avec l’aide financière de la Société Financière Internationale.