« Ce haut conseil de la communication qui a pour mission de garantir l’indépendance et d’assurer la liberté et la protection de la presse et des arts ainsi que de tous les moyens de communication de masse, dans le respect de la loi se transforme en bourreau en foulant au pied l’ordonnance 04.020 du 31 décembre 2004 portant création, organisation et fonctionnement du HCC », peut-on lire dans une déclaration conjointe publiée samedi par l'Union des journalistes de Centrafrique (UJCA), le Groupement des éditeurs de la presse privée indépendante de Centrafrique (GEPPIC) et l'Observatoire des médias en Centrafrique (OMCA, organe d'autorégulation).
Publiée à l'issue d'une assemblée générale élargie de l'UJCA, cette déclaration souligne que « les journalistes centrafricains décident, à l'unanimité, de retirer leur confiance aux neuf (9) membres du Haut Conseil de la Communication et prient le président de la République, Chef de l'Etat, garant des institutions républicaines, de prendre ses responsabilités ».
Cette nouvelle détérioration des rapports entre le HCC et les professionnels de la presse intervient une semaine après que l'organe de régulation eut prononcé une interdiction d'un mois à l'encontre du quotidien privé "Le Citoyen".
Publiée à l'issue d'une assemblée générale élargie de l'UJCA, cette déclaration souligne que « les journalistes centrafricains décident, à l'unanimité, de retirer leur confiance aux neuf (9) membres du Haut Conseil de la Communication et prient le président de la République, Chef de l'Etat, garant des institutions républicaines, de prendre ses responsabilités ».
Cette nouvelle détérioration des rapports entre le HCC et les professionnels de la presse intervient une semaine après que l'organe de régulation eut prononcé une interdiction d'un mois à l'encontre du quotidien privé "Le Citoyen".