Interrogé par la presse à l'issue de l'audience, le chef du RFP, d'origine tchadienne, s'est défendu d'être un obstacle au retour de la paix dans le pays.
« Nous sommes venus trouver un Etat où le pays était envahi par les coupeurs de route, la population vit dans la brousse, elle ne cultive pas le champ, ni ne pratique pas la chasse, elle est prise en tenaille par les coupeurs de route », a-t-il déclaré.
« Je crois que si vous partez aujourd’hui dans la préfecture de Nana-Gribizi, personne ne vous dira que nous faisons obstacle », a-t-il également affirmé, ajoutant que c'est plutôt la rébellion de l'APRD qui inquiète les Centrafricains.
Au sujet du désarmement de ses quelque cinq cent (500) hommes, le chef rebelle a réitéré qu’ils avaient décidé de déposer les armes à condition que le gouvernement tchadien lui accorde une amnistie.
Pour mémoire l’APRD a fait du départ de la RCA du chef du RFP un préalable au désarmement de ses hommes dans le cadre du DDR.
« Nous sommes venus trouver un Etat où le pays était envahi par les coupeurs de route, la population vit dans la brousse, elle ne cultive pas le champ, ni ne pratique pas la chasse, elle est prise en tenaille par les coupeurs de route », a-t-il déclaré.
« Je crois que si vous partez aujourd’hui dans la préfecture de Nana-Gribizi, personne ne vous dira que nous faisons obstacle », a-t-il également affirmé, ajoutant que c'est plutôt la rébellion de l'APRD qui inquiète les Centrafricains.
Au sujet du désarmement de ses quelque cinq cent (500) hommes, le chef rebelle a réitéré qu’ils avaient décidé de déposer les armes à condition que le gouvernement tchadien lui accorde une amnistie.
Pour mémoire l’APRD a fait du départ de la RCA du chef du RFP un préalable au désarmement de ses hommes dans le cadre du DDR.