Cette activité, marquée par une randonnée sur la colline du Bas-Oubangui suivie d'un exposé sur les conséquences du changement climatique, a vu la participation du ministre de l’Environnement et de l’Ecologie, M. François Naouéyama, et du Représentant résident par intérim du PNUD, M. Steven Ursino.
Dans sa présentation de la situation du changement climatique en République Centrafricaine, la chargée de programme environnement des Nations Unies au Pnud, Mme Aline Malibangar, a indiqué qu' "aujourd’hui, l’environnement se détériore à une vitesse telle que nous risquons de ne rien laisser à nos enfants plus tard ».
Selon elle, il s'agit d' "un vrai problème contre lequel qu’il faut combattre, au-delà de la considération environnementale (car) il y a une autre considération qui concerne les émissions de gaz à effet de serre (GES), quand on brûle la forêt, on émet ce qu’on appelle le gaz à effet de serre, le dioxyde de carbone (CO2) par exemple, la terre se réchauffe à une vitesse telle qu’il fait chaud".
« Sur l’échelle mondiale, il faut qu’on s’unisse pour prendre des initiatives afin de mobiliser des ressources pour ensemble protéger notre environnement, sinon la terre va prendre feu et c’est tout le monde qui va perdre », a conclu Mme Malibangar.
« Il faut lutter contre ce phénomène de la dégradation de notre environnement, donc une approche intégrée c’est-à-dire, le gouvernement joue un rôle, mais sans la participation non seulement du peuple mais de tous les cadres ministériels et les agences du système des Nations Unies, si on n’a pas une approche intégrée pour tout le monde pour réaliser les objectifs et prendre les actions qui nous incombent, on n'ira nulle part », a souligné le Représentant résident par intérim du Pnud, M. Steven Ursino.
« Le phénomène du changement climatique n’est pas qu’en Centrafrique, il concerne le monde entier, de ce fait le gouvernement peut avoir toute la volonté possible et tant qu’il n’est pas appuyé par chaque être humain, rien ne peut se faire, j’invite tous nos frères et sœurs à veiller à l’utilisation rationnelle des biens que Dieu a mis gracieusement à notre disposition », a déclaré, quant à lui, le ministre de l’Environnement, M. Naouéyama.
Il convient de noter que le but de la marche de 5 km sur la colline du Bas-Oubangui, qui a mobilisé tout le personnel du système des Nations Unies et certains cadres des différents départements ministériels, est de montrer à tout le monde qu’il y a un réel problème, dont fait partie la déforestation, à l'origine de la mise à nu de cette colline naguère verdoyante.
Dans sa présentation de la situation du changement climatique en République Centrafricaine, la chargée de programme environnement des Nations Unies au Pnud, Mme Aline Malibangar, a indiqué qu' "aujourd’hui, l’environnement se détériore à une vitesse telle que nous risquons de ne rien laisser à nos enfants plus tard ».
Selon elle, il s'agit d' "un vrai problème contre lequel qu’il faut combattre, au-delà de la considération environnementale (car) il y a une autre considération qui concerne les émissions de gaz à effet de serre (GES), quand on brûle la forêt, on émet ce qu’on appelle le gaz à effet de serre, le dioxyde de carbone (CO2) par exemple, la terre se réchauffe à une vitesse telle qu’il fait chaud".
« Sur l’échelle mondiale, il faut qu’on s’unisse pour prendre des initiatives afin de mobiliser des ressources pour ensemble protéger notre environnement, sinon la terre va prendre feu et c’est tout le monde qui va perdre », a conclu Mme Malibangar.
« Il faut lutter contre ce phénomène de la dégradation de notre environnement, donc une approche intégrée c’est-à-dire, le gouvernement joue un rôle, mais sans la participation non seulement du peuple mais de tous les cadres ministériels et les agences du système des Nations Unies, si on n’a pas une approche intégrée pour tout le monde pour réaliser les objectifs et prendre les actions qui nous incombent, on n'ira nulle part », a souligné le Représentant résident par intérim du Pnud, M. Steven Ursino.
« Le phénomène du changement climatique n’est pas qu’en Centrafrique, il concerne le monde entier, de ce fait le gouvernement peut avoir toute la volonté possible et tant qu’il n’est pas appuyé par chaque être humain, rien ne peut se faire, j’invite tous nos frères et sœurs à veiller à l’utilisation rationnelle des biens que Dieu a mis gracieusement à notre disposition », a déclaré, quant à lui, le ministre de l’Environnement, M. Naouéyama.
Il convient de noter que le but de la marche de 5 km sur la colline du Bas-Oubangui, qui a mobilisé tout le personnel du système des Nations Unies et certains cadres des différents départements ministériels, est de montrer à tout le monde qu’il y a un réel problème, dont fait partie la déforestation, à l'origine de la mise à nu de cette colline naguère verdoyante.