M. Ursino a saisi l’occasion de la présentation du cadre stratégique de la consolidation de la paix pour exposer les acquis du comité de pilotage du programme de Désarmement Démobilisation Réinsertion(DDR) qu’il préside depuis février dernier.
Il a notamment relevé l’opérationnalisation du comité de pilotage et de son groupe de travail technique, la confection des documents de travail, dont celui du programme DDR, la préparation des listes des groupes politico-militaires, déjà remises au comité de pilotage, ainsi que la mise en place d’une équipe de gestion et la mobilisation d’une contribution du Fonds de Consolidation de la Paix disponible au Pnud Bangui depuis le 30 avril dernier.
Mais, a-t-il toutefois souligné, « aussi important que le DDR puisse être, il ne suffit pas à lui tout seul à résoudre toutes les questions de sécurité dans le pays. Il devra être accompagné par d’autres programmes tout aussi importants tels que la réforme du secteur de la sécurité, le renforcement de l’Etat de droit, le redéploiement de l’administration, les pôles de développement ou encore la lutte contre l’usage abusif des armes légères et de petit calibre ».
Il a par ailleurs indiqué que « le comité de pilotage qui compte en son sein des bailleurs de fonds bilatéraux et multilatéraux travaille avec tous les partenaires à identifier les projets en cours ou prévus liés à la réinsertion et à la réhabilitation communautaire » car, a-t-il expliqué, « une réintégration réussie des ex-combattants dans le tissu social à travers des activités productives et une vie sociale apaisée dans un climat de confiance retrouvée est le meilleur indicateur de la réussite d’un programme DDR ».
Il a notamment relevé l’opérationnalisation du comité de pilotage et de son groupe de travail technique, la confection des documents de travail, dont celui du programme DDR, la préparation des listes des groupes politico-militaires, déjà remises au comité de pilotage, ainsi que la mise en place d’une équipe de gestion et la mobilisation d’une contribution du Fonds de Consolidation de la Paix disponible au Pnud Bangui depuis le 30 avril dernier.
Mais, a-t-il toutefois souligné, « aussi important que le DDR puisse être, il ne suffit pas à lui tout seul à résoudre toutes les questions de sécurité dans le pays. Il devra être accompagné par d’autres programmes tout aussi importants tels que la réforme du secteur de la sécurité, le renforcement de l’Etat de droit, le redéploiement de l’administration, les pôles de développement ou encore la lutte contre l’usage abusif des armes légères et de petit calibre ».
Il a par ailleurs indiqué que « le comité de pilotage qui compte en son sein des bailleurs de fonds bilatéraux et multilatéraux travaille avec tous les partenaires à identifier les projets en cours ou prévus liés à la réinsertion et à la réhabilitation communautaire » car, a-t-il expliqué, « une réintégration réussie des ex-combattants dans le tissu social à travers des activités productives et une vie sociale apaisée dans un climat de confiance retrouvée est le meilleur indicateur de la réussite d’un programme DDR ».