Ce stage qui a duré deux mois a été axé sur le renforcement des capacités des forces de police et de gendarmerie avec des points sur les droits de l’homme et les normes internationales acceptées de pratiques policières, a été organisé au profit de 40 sous officiers, admis à l’issue de tests de sélection interne, organisé par la direction générale de la gendarmerie nationale et soutenu par le Bureau de l’organisation des Nations unies en Centrafrique (BONUCA).
M. Sambia a déclaré que cette formation permettra aux officiers de police judiciaire de la gendarmerie d’être aptes à effectuer tous les actes de police judiciaire à savoir les constatations, l’audition, l’interrogatoire, la confrontation, les perquisitions et saisies, la garde à vue et de faire la distinction entre les cadres juridiques de l’enquête préliminaire et la commission rogatoire.
Le représentant du Bonuca, le Commissaire divisionnaire Abdou Kitane a quant à lui déclaré que la formation qui s’achève « est un nouveau saut qualitatif que la gendarmerie vient de faire, avec la présence de deux femmes gendarmes dans cette formation », car a-t-il dit, « l’Organisation des Nations unies se fait désormais l’obligation d’intégrer la dimension Genre dans tous ses programmes, aussi bien internes qu’avec ses partenaires au développement ».
« Le Bonuca se félicite de l’apport déterminant de la coopération bilatérale française dans la formation et la restructuration des forces de défense et sécurité centrafricaines », a relevé M. Kitane, exhortant les récipiendaires à faire le meilleur usage des connaissances et techniques acquises au cours de la formation.
Rappelons que la coopération militaire française soutient annuellement la formation à la gendarmerie centrafricaine à hauteur de 295 millions FCFA. Aussi, la France à travers ce partenariat, veille à améliorer les conditions d’instruction ou de perfectionnement des gendarmes de tous grades et des officiers centrafricains.
M. Sambia a déclaré que cette formation permettra aux officiers de police judiciaire de la gendarmerie d’être aptes à effectuer tous les actes de police judiciaire à savoir les constatations, l’audition, l’interrogatoire, la confrontation, les perquisitions et saisies, la garde à vue et de faire la distinction entre les cadres juridiques de l’enquête préliminaire et la commission rogatoire.
Le représentant du Bonuca, le Commissaire divisionnaire Abdou Kitane a quant à lui déclaré que la formation qui s’achève « est un nouveau saut qualitatif que la gendarmerie vient de faire, avec la présence de deux femmes gendarmes dans cette formation », car a-t-il dit, « l’Organisation des Nations unies se fait désormais l’obligation d’intégrer la dimension Genre dans tous ses programmes, aussi bien internes qu’avec ses partenaires au développement ».
« Le Bonuca se félicite de l’apport déterminant de la coopération bilatérale française dans la formation et la restructuration des forces de défense et sécurité centrafricaines », a relevé M. Kitane, exhortant les récipiendaires à faire le meilleur usage des connaissances et techniques acquises au cours de la formation.
Rappelons que la coopération militaire française soutient annuellement la formation à la gendarmerie centrafricaine à hauteur de 295 millions FCFA. Aussi, la France à travers ce partenariat, veille à améliorer les conditions d’instruction ou de perfectionnement des gendarmes de tous grades et des officiers centrafricains.