Mme Liberata Mula Mula (à droite) recevant un cadeau remis par Mme Marie-Madeleine Moussa Yadouma (photo ACAP/Koutou)
Pendant 4 jours, les coordonnateurs nationaux des 11 Etats membres ont fait le point de la mise en œuvre du pacte de la CIRGL et examiné leurs plans d’action respectifs pour 2010 avant de finaliser les plans intégrés des différents domaines d’activités et de passer en revue les projets à soumettre à la table ronde des bailleurs de fonds prévue pour les 5 et 6 novembre 2009 à Bujumbura, au Burundi.
Dans une brève allocution avant la clôture de l’atelier, Mme Liberata Mula Mula a demandé aux participants de sensibiliser les autorités de leurs pays respectifs ainsi que les partenaires afin d’obtenir une forte participation à la table ronde de Bujumbura, qui a pour objectifs de mobiliser les appuis techniques et financiers pour la mise en œuvre des projets prioritaires.
Le montant des financements à mobiliser pour la réalisation de ces projets retenus s’élève, pour l’heure, à 2 milliards de dollars américains, soit 99% des besoins, a indiqué le chargé de l’administration et des finances de la CIRGL, M. Franck Corneille Mampouya M’bama, pour qui la table ronde de Bujumbura sera également l’occasion pour les Etats membres de « réaffirmer leur volonté d’appuyer le Fonds spécial de reconstruction et de développement de la Conférence ».
Il convient de signaler que Mme Mula Mula, qui devait quitter Bangui le 17 octobre en milieu d’après-midi, a été reçue par le Premier ministre centrafricain, Faustin Archange Touadéra, avant de recevoir un cadeau offert par le Forum des femmes centrafricaines de la CIRGL et remis à la fin de l’atelier de Bangui par la vice-présidente du Forum, Mme Marie-Madeleine Moussa Yadouma.
Pour mémoire, la République Centrafricaine fait partie des 11 Etats qui ont fondé la CIRGL, en signant, en décembre 2006 à Naïrobi, au Kenya, le pacte sur la paix, la sécurité, la stabilité et le développement dans la Région des Grands Lacs.
Ce pacte, qui comprend 10 protocoles, définit 4 programmes régionaux d'action, à savoir paix et sécurité, démocratie et bonne gouvernance, développement économique et intégration régionale, questions humanitaires et sociales.
Pour financer ces programmes, auxquels il convient d'ajouter les questions transversales relatives au genre, aux droits humains et à l'nvironnement, il est mis en place un Fonds spécial de reconstruction et de développement (FSRD) alimenté par les contributions statutaires des Etats membres et les contributions volontaires des partenaires au développement.
Dans une brève allocution avant la clôture de l’atelier, Mme Liberata Mula Mula a demandé aux participants de sensibiliser les autorités de leurs pays respectifs ainsi que les partenaires afin d’obtenir une forte participation à la table ronde de Bujumbura, qui a pour objectifs de mobiliser les appuis techniques et financiers pour la mise en œuvre des projets prioritaires.
Le montant des financements à mobiliser pour la réalisation de ces projets retenus s’élève, pour l’heure, à 2 milliards de dollars américains, soit 99% des besoins, a indiqué le chargé de l’administration et des finances de la CIRGL, M. Franck Corneille Mampouya M’bama, pour qui la table ronde de Bujumbura sera également l’occasion pour les Etats membres de « réaffirmer leur volonté d’appuyer le Fonds spécial de reconstruction et de développement de la Conférence ».
Il convient de signaler que Mme Mula Mula, qui devait quitter Bangui le 17 octobre en milieu d’après-midi, a été reçue par le Premier ministre centrafricain, Faustin Archange Touadéra, avant de recevoir un cadeau offert par le Forum des femmes centrafricaines de la CIRGL et remis à la fin de l’atelier de Bangui par la vice-présidente du Forum, Mme Marie-Madeleine Moussa Yadouma.
Pour mémoire, la République Centrafricaine fait partie des 11 Etats qui ont fondé la CIRGL, en signant, en décembre 2006 à Naïrobi, au Kenya, le pacte sur la paix, la sécurité, la stabilité et le développement dans la Région des Grands Lacs.
Ce pacte, qui comprend 10 protocoles, définit 4 programmes régionaux d'action, à savoir paix et sécurité, démocratie et bonne gouvernance, développement économique et intégration régionale, questions humanitaires et sociales.
Pour financer ces programmes, auxquels il convient d'ajouter les questions transversales relatives au genre, aux droits humains et à l'nvironnement, il est mis en place un Fonds spécial de reconstruction et de développement (FSRD) alimenté par les contributions statutaires des Etats membres et les contributions volontaires des partenaires au développement.