Les signataires du communiqué de presse ont considéré que les élections groupées du 27 décembre 2020 n’ont pas respecté les normes et standards internationaux universellement reconnus. L’acceptation des résultats de l’élection sur une partie du territoire laissant de côté plus de 2/3 de l’électorat, ne saurait conférer la légitime au Président élu et constitue un grave recul de la démocratie dans notre pays.
Suivant le communiqué, après avoir mis en exergue les nombreuses irrégularités qui ont émaillé les scrutins du 27 décembre 2020, (proportions importantes de votes par dérogation, non remise des feuilles de résultats aux représentants des candidats, démarrages tardifs des opérations électorales, conservation des urnes par la MINUSCA en absence des représentants des candidats, implication des autorités administratives locales dans l’intimidation et achat des votes des électeurs, les fraudes massives etc).
Le communiqué de presse a noté que sur un total de 1.858.436 inscrits sur la liste électorale, seuls 695.019 ont pu voter, correspondant à un taux de participation de 37%, et non 73,31 % annoncé par l’ANE (Autorité nationale des élections). D’où presque 2/3 de l’électorat n’a pu exercer son droit de vote.
« L’échec du plan intégré de sécurisation du processus électoral du Gouvernement et de la MINUSCA, n’ayant pas permis non seulement aux candidats de battre campagne sur toute l’étendue du territoire, mais aussi de garantir les conditions de sécurité pour un bon déroulement des scrutins », ont souligné les signataires du communiqué de presse.
Les signataires dudit communiqué de presse sont : Anicet-Georges Doléguélé, Martin Ziguélé, Mahamat Kamoun, Augustin Agou, Crépin Béndéret-Mboli-Goumba, Alexandre-Ferdinand Nguendet, Abdou-Karim Meckassoua, Cathérine Samba-Panza née Souga, Nicolas Tiangaye et Désiré Nzanga-Bilal-Kolingba.
Suivant le communiqué, après avoir mis en exergue les nombreuses irrégularités qui ont émaillé les scrutins du 27 décembre 2020, (proportions importantes de votes par dérogation, non remise des feuilles de résultats aux représentants des candidats, démarrages tardifs des opérations électorales, conservation des urnes par la MINUSCA en absence des représentants des candidats, implication des autorités administratives locales dans l’intimidation et achat des votes des électeurs, les fraudes massives etc).
Le communiqué de presse a noté que sur un total de 1.858.436 inscrits sur la liste électorale, seuls 695.019 ont pu voter, correspondant à un taux de participation de 37%, et non 73,31 % annoncé par l’ANE (Autorité nationale des élections). D’où presque 2/3 de l’électorat n’a pu exercer son droit de vote.
« L’échec du plan intégré de sécurisation du processus électoral du Gouvernement et de la MINUSCA, n’ayant pas permis non seulement aux candidats de battre campagne sur toute l’étendue du territoire, mais aussi de garantir les conditions de sécurité pour un bon déroulement des scrutins », ont souligné les signataires du communiqué de presse.
Les signataires dudit communiqué de presse sont : Anicet-Georges Doléguélé, Martin Ziguélé, Mahamat Kamoun, Augustin Agou, Crépin Béndéret-Mboli-Goumba, Alexandre-Ferdinand Nguendet, Abdou-Karim Meckassoua, Cathérine Samba-Panza née Souga, Nicolas Tiangaye et Désiré Nzanga-Bilal-Kolingba.