Un appel à manifestation d’intérêt devrait permettre de choisir très prochainement, un bureau chargé de réaliser l’étude de faisabilité de cette zone portuaire de 1000 mètres carrés prévue pour devenir fonctionnelle entre 2010 et 2013.
Pour M. Marc Nditiféi, chef du corridor du guichet unique de Douala, la mise en service de cette zone portuaire devrait offrir à son service la possibilité de procéder à d’éventuels contrôles physiques des importations alors que les opérations se font uniquement sur base documentaire.
L’ouverture de cette zone portuaire pourrait également permettre d’accorder un délai de stockage un peu plus long aux importateurs centrafricains qui se plaignent de voir leurs marchandises parfois hâtivement vendues aux enchères par les douanes camerounaises.
Quant au fonctionnement de cette zone portuaire, censée comporter un parking, des entrepôts et une zone de réparation, une augmentation sensible des effectifs est à envisager, même s’il faut attendre une meilleure maîtrise du volume des importations pour en déterminer la proportion, estime M. Nditiféi.
Pour lui, l’aboutissement de ce projet serait la réalisation d’un vieux rêve des années 70 consistant à doter d’une zone portuaire réservée des pays sans littoral tels que la RCA et le Tchad
Pour M. Marc Nditiféi, chef du corridor du guichet unique de Douala, la mise en service de cette zone portuaire devrait offrir à son service la possibilité de procéder à d’éventuels contrôles physiques des importations alors que les opérations se font uniquement sur base documentaire.
L’ouverture de cette zone portuaire pourrait également permettre d’accorder un délai de stockage un peu plus long aux importateurs centrafricains qui se plaignent de voir leurs marchandises parfois hâtivement vendues aux enchères par les douanes camerounaises.
Quant au fonctionnement de cette zone portuaire, censée comporter un parking, des entrepôts et une zone de réparation, une augmentation sensible des effectifs est à envisager, même s’il faut attendre une meilleure maîtrise du volume des importations pour en déterminer la proportion, estime M. Nditiféi.
Pour lui, l’aboutissement de ce projet serait la réalisation d’un vieux rêve des années 70 consistant à doter d’une zone portuaire réservée des pays sans littoral tels que la RCA et le Tchad