« Les principaux objectifs du programme visent non seulement à développer les capacités des institutions publiques et privées en matières de surveillance et de gestion de ces flux financiers, mais également à appréhender la perception du climat des affaires par les investisseurs », a déclaré le ministre délégué dans son discours d’ouverture .
Il a réaffirmé l’engagement du gouvernement à exploiter les principaux résultats de ce programme en vue de réorienter sa politique de promotion des investissements, rendre plus attractive l’économie centrafricaine et favoriser une politique de financement du développement axée sur des flux privés, car a-t-il ajouté « ce programme permettra de renforcer le dialogue au sein du cadre de concertation Etat-Secteur Privé, particulièrement en matière de suivi des mouvements de capitaux privés, de mieux connaître les modes de financement du secteur privé et d’apprécier la soutenabilité de l’endettement extérieur global ainsi que son impact sur la compétitivité de l’économie centrafricaine.
Pour le directeur de la Banque des Etats de l’Afrique Centrale (BEAC) M. Camille Kéléfio, la mise en œuvre de ce programme en République Centrafricaine a été marquée par une mission précurseur à cet atelier de sensibilisation, qui a séjourné à Bangui, du 16 au 21 février 2009, et avait rencontré les principaux acteurs pressentis pour faire partie du groupe de travail national (GTN), organe dont la tâche est de coordonner et superviser l’exécution du programme dans le pays.
Selon lui, cet atelier consiste à procéder au lancement des activités du programme en RCA. Il sera suivi , au cours des prochains jours, de la réalisation d’une enquête sur le terrain pour collecter les données des entreprises centrafricaines sur le flux des capitaux avec l’étranger et d’une enquête conjointe sur le climat des investissements.
M. Robert Ngoki a exhorté les opérateurs économiques à donner des informations fiables aux enquêteurs car celles-ci permettrons de mettre en place une Banque de données pour la maîtrise et le suivi du mouvement des capitaux privés étrangers en République centrafricaine.
Il convient de rappeler que le Programme de renforcement des capacités en analyse des flux de capitaux privés étrangers (PRC/CPE) est un programme de collaboration entre cinq institutions partenaires, qui travaillent dans divers pays d’Afrique, d’Amérique latine et des Caraïbes, en vue de renforcer les capacités indépendantes et durables des pouvoirs publics et des institutions du secteur privé, tant sur le plan national que régional, à surveiller, analyser et gérer les effets des capitaux privés étrangers sur les économies de la sous-région ainsi que de mettre en œuvre les recommandations d’orientations en résultat.
Il a réaffirmé l’engagement du gouvernement à exploiter les principaux résultats de ce programme en vue de réorienter sa politique de promotion des investissements, rendre plus attractive l’économie centrafricaine et favoriser une politique de financement du développement axée sur des flux privés, car a-t-il ajouté « ce programme permettra de renforcer le dialogue au sein du cadre de concertation Etat-Secteur Privé, particulièrement en matière de suivi des mouvements de capitaux privés, de mieux connaître les modes de financement du secteur privé et d’apprécier la soutenabilité de l’endettement extérieur global ainsi que son impact sur la compétitivité de l’économie centrafricaine.
Pour le directeur de la Banque des Etats de l’Afrique Centrale (BEAC) M. Camille Kéléfio, la mise en œuvre de ce programme en République Centrafricaine a été marquée par une mission précurseur à cet atelier de sensibilisation, qui a séjourné à Bangui, du 16 au 21 février 2009, et avait rencontré les principaux acteurs pressentis pour faire partie du groupe de travail national (GTN), organe dont la tâche est de coordonner et superviser l’exécution du programme dans le pays.
Selon lui, cet atelier consiste à procéder au lancement des activités du programme en RCA. Il sera suivi , au cours des prochains jours, de la réalisation d’une enquête sur le terrain pour collecter les données des entreprises centrafricaines sur le flux des capitaux avec l’étranger et d’une enquête conjointe sur le climat des investissements.
M. Robert Ngoki a exhorté les opérateurs économiques à donner des informations fiables aux enquêteurs car celles-ci permettrons de mettre en place une Banque de données pour la maîtrise et le suivi du mouvement des capitaux privés étrangers en République centrafricaine.
Il convient de rappeler que le Programme de renforcement des capacités en analyse des flux de capitaux privés étrangers (PRC/CPE) est un programme de collaboration entre cinq institutions partenaires, qui travaillent dans divers pays d’Afrique, d’Amérique latine et des Caraïbes, en vue de renforcer les capacités indépendantes et durables des pouvoirs publics et des institutions du secteur privé, tant sur le plan national que régional, à surveiller, analyser et gérer les effets des capitaux privés étrangers sur les économies de la sous-région ainsi que de mettre en œuvre les recommandations d’orientations en résultat.