Selon une des recommandations, les femmes ayant participé au premier congrès ordinaire du parti travailliste KNK recommandent "le respect de la politique de l’égalité et de l’équité pour une intégration effective des femmes dans le processus du développement économique, social et politique du pays".
La présidente de l’organisation nationale des femmes du KNK, Mme Aoudou Pacco qui a présidé la cérémonie clôture de ces assises, a déclaré que " les ouvrières ont compris l’importance de la politique de Kwa Na Kwa du président fondateur du parti François Bozizé". Selon elle, cette politique est " l’outil par excellence pour le développement de tout un chacun".
Elle a félicité les militantes venues de l'intérieur du pays qui ont répondu présentes à cette première rencontre.
" On a tendance à privilégier les citadines au détriment de celles-ci, sous prétexte qu’elles n’ont pas reçu d’instruction, ni de formation. Aujourd’hui le président fondateur, le président de la République François Bozizé voudrait inverser la tendance ", a-t-elle déclaré.
Selon Mme Aoudou Pacco, cette manière d'intégrer les femmes de l'intérieur du pays leur donne la possibilité d’émerger et de s’exprimer sur les questions liées à leur existence.
"Nous sommes venues au premier congrès ordinaire des femmes KNK, j’ai vu qu’on a appris beaucoup de choses sur la vie politique féminine. Donc les femmes doivent prendre part à des grandes décisions et peuvent s'intégrer dans la vie politique. Car c’est une école politique, pour la première fois dans l’histoire politique de la République Centrafricaine », a fait remarquer la présidente sous fédérale de Bria, chef lieu de la préfecture de la Haute Kotto.
Notons que le bureau des femmes "ouvrières" est composé de douze membres, dont la présidente Mme Aoudou Pacco Annette, secondée par Mme Mbokani, Mme Fatimé Kéina Adja qui occupe le poste de deuxième vice présidente, Mme Madina Dohé Koué, la Sécretaire Générale et Mme Elisabeth Kofio qui est trésorière générale.
Il faut rappeler que ce premier congrès ordinaire des femmes du KNK a mobilisé une centaine de femmes venues de Bangui et des seize préfectures, qui, durant deux jours, ont été édifiées à travers différents exposés sur l’économie, la politique, le social et le droit.
La présidente de l’organisation nationale des femmes du KNK, Mme Aoudou Pacco qui a présidé la cérémonie clôture de ces assises, a déclaré que " les ouvrières ont compris l’importance de la politique de Kwa Na Kwa du président fondateur du parti François Bozizé". Selon elle, cette politique est " l’outil par excellence pour le développement de tout un chacun".
Elle a félicité les militantes venues de l'intérieur du pays qui ont répondu présentes à cette première rencontre.
" On a tendance à privilégier les citadines au détriment de celles-ci, sous prétexte qu’elles n’ont pas reçu d’instruction, ni de formation. Aujourd’hui le président fondateur, le président de la République François Bozizé voudrait inverser la tendance ", a-t-elle déclaré.
Selon Mme Aoudou Pacco, cette manière d'intégrer les femmes de l'intérieur du pays leur donne la possibilité d’émerger et de s’exprimer sur les questions liées à leur existence.
"Nous sommes venues au premier congrès ordinaire des femmes KNK, j’ai vu qu’on a appris beaucoup de choses sur la vie politique féminine. Donc les femmes doivent prendre part à des grandes décisions et peuvent s'intégrer dans la vie politique. Car c’est une école politique, pour la première fois dans l’histoire politique de la République Centrafricaine », a fait remarquer la présidente sous fédérale de Bria, chef lieu de la préfecture de la Haute Kotto.
Notons que le bureau des femmes "ouvrières" est composé de douze membres, dont la présidente Mme Aoudou Pacco Annette, secondée par Mme Mbokani, Mme Fatimé Kéina Adja qui occupe le poste de deuxième vice présidente, Mme Madina Dohé Koué, la Sécretaire Générale et Mme Elisabeth Kofio qui est trésorière générale.
Il faut rappeler que ce premier congrès ordinaire des femmes du KNK a mobilisé une centaine de femmes venues de Bangui et des seize préfectures, qui, durant deux jours, ont été édifiées à travers différents exposés sur l’économie, la politique, le social et le droit.