« Pendant les témoignages nous avons découvert que les femmes centrafricaines font beaucoup d’activités génératrices de revenus, mais elles ne sont pas soutenues », a déclaré Mme Dejean, avant de relever qu’une solution sera préconisée pour ces femmes entrepreneurs réunies en groupements et associations.
Elle a indiqué, enguise d'xemple d'initiative, que les femmes entrepreneurs savent préparer du vin de table à base de feuilles d’avocat et ce vin peut être transformé en whisky. C’est une expérience qu’il faut porter à la connaissance des Centrafricains car beaucoup ne savent pas qu’en République Centrafricaine, cela existe.
« Nous n’allons pas nous taire, c’est un travail de longue haleine, je pense que nos autorités n’ont pas bien compris le bien fondé de ce concept, c’est pourquoi les femmes sont moins représentées dans toutes les grandes instances, mais nous allons nous battre, c’est dans les prochaines élections que nous allons nous déterminer » a-t-elle martelé en référence au concept genre.
« Nous fabriquons des confitures de tomate, du jus d’ananas et de gingembre ainsi que des savons antiseptiques », « nous sommes dans une association, mais nous n’avons pas de financement, c’est pourquoi nous souhaitons avoir de l’aide pour produire en quantité industrielle nos produits », a indiqué, pour sa part, Mme Julienne Yokadouma.
Rappelons qu’à l’issue de ces journées, ces femmes entrepreneurs ont reçu des enveloppes contenant une somme de quatre cent mille francs cfa (400.000), pour l’Afac et trois cent mille francs cfa pour l’Organisation des femmes centrafricaines (OFCA) et un certificat de participation.
Elle a indiqué, enguise d'xemple d'initiative, que les femmes entrepreneurs savent préparer du vin de table à base de feuilles d’avocat et ce vin peut être transformé en whisky. C’est une expérience qu’il faut porter à la connaissance des Centrafricains car beaucoup ne savent pas qu’en République Centrafricaine, cela existe.
« Nous n’allons pas nous taire, c’est un travail de longue haleine, je pense que nos autorités n’ont pas bien compris le bien fondé de ce concept, c’est pourquoi les femmes sont moins représentées dans toutes les grandes instances, mais nous allons nous battre, c’est dans les prochaines élections que nous allons nous déterminer » a-t-elle martelé en référence au concept genre.
« Nous fabriquons des confitures de tomate, du jus d’ananas et de gingembre ainsi que des savons antiseptiques », « nous sommes dans une association, mais nous n’avons pas de financement, c’est pourquoi nous souhaitons avoir de l’aide pour produire en quantité industrielle nos produits », a indiqué, pour sa part, Mme Julienne Yokadouma.
Rappelons qu’à l’issue de ces journées, ces femmes entrepreneurs ont reçu des enveloppes contenant une somme de quatre cent mille francs cfa (400.000), pour l’Afac et trois cent mille francs cfa pour l’Organisation des femmes centrafricaines (OFCA) et un certificat de participation.
