Selon des témoins, tout a commencé lorsque des éléments de la garde présidentielle ont assommé avant de le transporter à l’hôpital, un homme identifié comme étant un commissaire de police, qui refusait de se laisser désarmer.
Pris de colère, des jeunes témoins de la scène ont érigé des barricades sur l’avenue Koudoukou, contraignant l’armée à intervenir pour dégager la voie.
Avec l’annonce du décès du commissaire, vendredi en milieu de matinée, les barricades ont ressurgi, entraînant l’intervention de la gendarmerie.
Le calme est finalement revenu dans la capitale centrafricaine où aucune réaction officielle n'était disponible, vendredi en fin de journée.
Pris de colère, des jeunes témoins de la scène ont érigé des barricades sur l’avenue Koudoukou, contraignant l’armée à intervenir pour dégager la voie.
Avec l’annonce du décès du commissaire, vendredi en milieu de matinée, les barricades ont ressurgi, entraînant l’intervention de la gendarmerie.
Le calme est finalement revenu dans la capitale centrafricaine où aucune réaction officielle n'était disponible, vendredi en fin de journée.