« Il s’agit non seulement de la mise en œuvre d’une stratégie conjointe de partenariat pays (SCPP), de la concrétisation d’un certain nombre de principes de la déclaration de Paris en matière d’efficacité de l’aide, mais aussi des principes qui sont chers aux États fragiles, groupe auquel appartient la République Centrafricaine », a précisé le ministre d’Etat Sylvain Maliko.
Selon lui, dans le contexte mondial actuel marqué par une forte récession , la RCA est fortement atteinte et « notre plus grand souhait comme d’autres pays qui ont des capacités internes de résistance à ces crises, c’est de mobiliser à la fois en internes nos ressources, mais également compter énormément sur nos partenaires pour que la mise en œuvre rapide de ce programme nous permette de trouver des solutions à court terme », a-t-il ajouté.
« J’espère qu’aujourd’hui, les échanges que nous avons eus vont déboucher sur les actions concrètes et immédiates pour permettre de trouver une solution à la fois nécessaire, et de consolider les acquis de cette longue période d’efforts de reformes structurelles que nous avons engagée, mais également de faire en sorte que les tendances négatives qui se sont installées dans notre pays de pauvreté soit inversées », a conclu le ministre d’Etat Maliko.
Pour la représentante de la Banque Mondiale Mme Jelena Pantelic, ces travaux constituent une opportunité pour le gouvernement, le Groupe de la Banque Mondiale , la BAD) et tous les partenaires pour discuter de la stratégie conjointe pays qui tend vers sa finalisation .
« La présentation qui vous sera faite nous permettra de mieux saisir son contenu et d’en tirer les conséquences pour une mise en œuvre adéquate », a-t-elle indiqué .
Il convient de signaler que cette discussion a permis au Groupe de la Banque Mondiale de mettre tous ses partenaires au même niveau d’information par rapport à cette stratégie.
Selon lui, dans le contexte mondial actuel marqué par une forte récession , la RCA est fortement atteinte et « notre plus grand souhait comme d’autres pays qui ont des capacités internes de résistance à ces crises, c’est de mobiliser à la fois en internes nos ressources, mais également compter énormément sur nos partenaires pour que la mise en œuvre rapide de ce programme nous permette de trouver des solutions à court terme », a-t-il ajouté.
« J’espère qu’aujourd’hui, les échanges que nous avons eus vont déboucher sur les actions concrètes et immédiates pour permettre de trouver une solution à la fois nécessaire, et de consolider les acquis de cette longue période d’efforts de reformes structurelles que nous avons engagée, mais également de faire en sorte que les tendances négatives qui se sont installées dans notre pays de pauvreté soit inversées », a conclu le ministre d’Etat Maliko.
Pour la représentante de la Banque Mondiale Mme Jelena Pantelic, ces travaux constituent une opportunité pour le gouvernement, le Groupe de la Banque Mondiale , la BAD) et tous les partenaires pour discuter de la stratégie conjointe pays qui tend vers sa finalisation .
« La présentation qui vous sera faite nous permettra de mieux saisir son contenu et d’en tirer les conséquences pour une mise en œuvre adéquate », a-t-elle indiqué .
Il convient de signaler que cette discussion a permis au Groupe de la Banque Mondiale de mettre tous ses partenaires au même niveau d’information par rapport à cette stratégie.