Placée sous le contrôle du Comité national de lutte contre le sida (CNLS), l’objectif de cet atelier était de faire comprendre aux communicateurs en général et aux journalistes en particulier, leur part de responsabilité et leur contribution dans le changement de comportement, en vue de l’acceptation par la population du préservatif féminin.
Selon la consultante de l’ACAMS, Dr Gislaine Affana, le lancement de ce produit intervient à un moment où le taux d’infection, sur le plan national se situe entre 7 à 28%. Ce qui veut dire que le fléau atteint déjà le stade d’épidémie.
Elle a également expliqué que l’infection à Vih/sida tend à se féminiser. C’est pourquoi le lancement du condom féminin parait aussi bien nécessaire qu’urgent.
Pour Dr Affana, le condom féminin donne une autonomie à la femme qui se heurte à des difficultés de négociation du condom masculin avec son ou ses partenaires.
En effet, a-t-elle souligné, « l’arrivée du préservatif féminin crée entre l’homme et la femme une égalité dans l’accessibilité aux moyens de prévention contre les Ist et le Vih/sida ».
Durant toute la journée, les participants ont été entretenus sur l’importance de l’implication de tous dans la lutte contre le sida, et les différentes orientations du Cadre national de lutte contre le sida.
Le 19 octobre prochain, 50 milles condoms féminins fournis par le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) seront distribués par ACAMS dans le cadre de cette vaste campagne de prévention, en faveur de la population féminine jugée plus vulnérable.
Selon la consultante de l’ACAMS, Dr Gislaine Affana, le lancement de ce produit intervient à un moment où le taux d’infection, sur le plan national se situe entre 7 à 28%. Ce qui veut dire que le fléau atteint déjà le stade d’épidémie.
Elle a également expliqué que l’infection à Vih/sida tend à se féminiser. C’est pourquoi le lancement du condom féminin parait aussi bien nécessaire qu’urgent.
Pour Dr Affana, le condom féminin donne une autonomie à la femme qui se heurte à des difficultés de négociation du condom masculin avec son ou ses partenaires.
En effet, a-t-elle souligné, « l’arrivée du préservatif féminin crée entre l’homme et la femme une égalité dans l’accessibilité aux moyens de prévention contre les Ist et le Vih/sida ».
Durant toute la journée, les participants ont été entretenus sur l’importance de l’implication de tous dans la lutte contre le sida, et les différentes orientations du Cadre national de lutte contre le sida.
Le 19 octobre prochain, 50 milles condoms féminins fournis par le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) seront distribués par ACAMS dans le cadre de cette vaste campagne de prévention, en faveur de la population féminine jugée plus vulnérable.