Organisé dans le cadre du projet « Expression et réconciliation » financé par l’UNESCO, ce colloque invite les compétences universitaires à édifier les jeunes étudiants sur les valeurs culturelles de la République centrafricaine, leur importance dans la résolution des conflits et la consolidation de la paix.
« L’urgence d’un travail de réconciliation nationale est nécessaire pour que la diversité culturelle soit une force et une source d’enrichissement mutuel et non un facteur de division », a déclaré le Professeur Gustave Bobossi Séréngbé à l'ouverture du colloque.
Selon lui, les méthodes modernes de médiation pour les règlements de conflits ont échoué. C’est pourquoi « nous devons interroger notre héritage culturel commun, afin d’y puiser les valeurs morale, matérielle et immatérielle indispensables à la résolution de nos problèmes, en vue du retour de la paix et de la cohésion sociale ».
« Le développement économique et social, la réduction des inégalités, l’éradication de la pauvreté, la sécurité alimentaire durable, la justice sociale sont des facteurs qui contribuent au renforcement de la culture de la paix », a pour sa part souligné le Chargé d’Antenne de l’UNESCO, M. Mahamat Alhabo.
Pour lui, ce colloque est une tentative de réponse à la quête collective de la paix. Car, a-t-il conclu, la culture de la paix est « un ensemble de valeurs, d’attitudes, de comportements et de modes de vie, qui rejette la violence en s’attaquant à la racine par le dialogue et la négociation entre les individus, les groupes et les Etats ».
Il convient de signaler que ce colloque qui regroupe environ 200 enseignants de l’Université de Bangui prendra fin vendredi 21 août 2009.
« L’urgence d’un travail de réconciliation nationale est nécessaire pour que la diversité culturelle soit une force et une source d’enrichissement mutuel et non un facteur de division », a déclaré le Professeur Gustave Bobossi Séréngbé à l'ouverture du colloque.
Selon lui, les méthodes modernes de médiation pour les règlements de conflits ont échoué. C’est pourquoi « nous devons interroger notre héritage culturel commun, afin d’y puiser les valeurs morale, matérielle et immatérielle indispensables à la résolution de nos problèmes, en vue du retour de la paix et de la cohésion sociale ».
« Le développement économique et social, la réduction des inégalités, l’éradication de la pauvreté, la sécurité alimentaire durable, la justice sociale sont des facteurs qui contribuent au renforcement de la culture de la paix », a pour sa part souligné le Chargé d’Antenne de l’UNESCO, M. Mahamat Alhabo.
Pour lui, ce colloque est une tentative de réponse à la quête collective de la paix. Car, a-t-il conclu, la culture de la paix est « un ensemble de valeurs, d’attitudes, de comportements et de modes de vie, qui rejette la violence en s’attaquant à la racine par le dialogue et la négociation entre les individus, les groupes et les Etats ».
Il convient de signaler que ce colloque qui regroupe environ 200 enseignants de l’Université de Bangui prendra fin vendredi 21 août 2009.