Cette déclaration a été faite à l’occasion d’une journée porte ouverte d’information et de sensibilisation sur le Droit des personnes handicapées, organisée par l’ANRAC et financée par le projet italien Donation globale (COOPI), et l’Union européenne, en présence de M. Joyce Badoka, inspecteur central au ministère des Affaires sociales, qui représentait le ministre.
La directrice de ANRAC, Mme Julienne Abakar Mbisssa a pour sa part fait remarquer que la situation des handicapés demeure comme une sorte de tabou en Centrafrique.
« Beaucoup de personnes handicapées ne veulent pas se présenter dans les centres de rééducation et d’appareillage, qui sont pourtant très nombreux dans la capitale », a relevé Mme Abakar Mbissa, précisant que « les personnes handicapées sont marginalisés tant par le gouvernement que par la communauté, parfois au sein même du foyer ou de la famille ».
L’objectif de cette journée est de conscientiser aussi bien la population que le gouvernement, sur la valorisation et la promotion du Droit des personnes handicapées, en vue d’améliorer leurs conditions de vie.
Au cours de cette journée, divers thèmes ont été débattus entre autres les droits des handicapés, la problématique de l’insertion sociale des personnes handicapées.
Dans le premier thème développé par Maître Parsé, il ressort que plusieurs textes juridiques existent sur la question des personnes handicapées. Seulement, ils sont éparpillés dans les différents ministères concernés, de sorte qu’un document définitif et complet n’est pas disponible pour guider les démarches. Il a également déploré les conditions difficiles de délivrance de la carte d’invalidité.
Dans le deuxième exposé, M. Wabangué a relevé la non application des textes et conventions internationaux signés par le gouvernement.
Selon lui, pour réussir une insertion véritable des personnes handicapées en Centrafrique, il faut nécessairement passer par la réadaptation de ces personnes, revoir le cadre législatif en révisant les textes en vue de les adapter aux réalités de l’heure et surtout veiller à leur application et enfin une mobilisation de tous qui permettrait aux handicapés de retrouver la joie de vivre.
Il convient de rappeler que ANRAC a vu le jour en 1999 et a pour but d’aider les personnes en situation de handicap. Elle fournit des traitements de rééducation fonctionnelle, procède à la production et à la vente d’appareillages orthopédiques variés.
La directrice de ANRAC, Mme Julienne Abakar Mbisssa a pour sa part fait remarquer que la situation des handicapés demeure comme une sorte de tabou en Centrafrique.
« Beaucoup de personnes handicapées ne veulent pas se présenter dans les centres de rééducation et d’appareillage, qui sont pourtant très nombreux dans la capitale », a relevé Mme Abakar Mbissa, précisant que « les personnes handicapées sont marginalisés tant par le gouvernement que par la communauté, parfois au sein même du foyer ou de la famille ».
L’objectif de cette journée est de conscientiser aussi bien la population que le gouvernement, sur la valorisation et la promotion du Droit des personnes handicapées, en vue d’améliorer leurs conditions de vie.
Au cours de cette journée, divers thèmes ont été débattus entre autres les droits des handicapés, la problématique de l’insertion sociale des personnes handicapées.
Dans le premier thème développé par Maître Parsé, il ressort que plusieurs textes juridiques existent sur la question des personnes handicapées. Seulement, ils sont éparpillés dans les différents ministères concernés, de sorte qu’un document définitif et complet n’est pas disponible pour guider les démarches. Il a également déploré les conditions difficiles de délivrance de la carte d’invalidité.
Dans le deuxième exposé, M. Wabangué a relevé la non application des textes et conventions internationaux signés par le gouvernement.
Selon lui, pour réussir une insertion véritable des personnes handicapées en Centrafrique, il faut nécessairement passer par la réadaptation de ces personnes, revoir le cadre législatif en révisant les textes en vue de les adapter aux réalités de l’heure et surtout veiller à leur application et enfin une mobilisation de tous qui permettrait aux handicapés de retrouver la joie de vivre.
Il convient de rappeler que ANRAC a vu le jour en 1999 et a pour but d’aider les personnes en situation de handicap. Elle fournit des traitements de rééducation fonctionnelle, procède à la production et à la vente d’appareillages orthopédiques variés.