Dans le mémorandum qu’elle a lu avant de remettre au premier ministre chef du gouvernement, Elie Doté, la présidente de l’AFCA, Mme Léa Ngaidama a expliqué que le thème retenu pour cette année est « La famille, socle de la paix ».
Selon Mme Ngaidama, le choix de ce thème revêt une importance capitale, car la famille est « le creuset de la solidarité ».
« Pour qu’une communauté vive en paix et cultive efficacement et durablement la paix, il faut que la cellule familiale elle-même vive en paix », a-t-elle ajouté.
Pour la présidente de l’AFCA, « une famille qui vit en paix favorise l’unité, la stabilité, l’épanouissement et le développement ».
Or aujourd’hui, a-t-elle déploré, « la famille centrafricaine est minée par un cycle de violences récurrents, nés des querelles entre les hommes politiques pour la conquête du pouvoir ».
Rappelant la situation sécuritaire qui engendre des déplacements des personnes dans certaines régions du pays, Mme Léa Ngaidama a déclaré que « les défis et les obstacles sont nombreux et multiformes qu’il faudra se mettre ensemble pour les surmonter ».
En outre, les organisateurs de la manifestation demandent aux autorités d’ « écouter la voix de la population qui est celle de la sagesse et de s’ouvrir au dialogue et à la bonne gouvernance pour le retour définitif de la cohésion nationale et par conséquent de la paix ».
« Par cette grande marche que nous venons de faire, nous avons voulu lancer un cri du cœur à nos frères qui constituent les forces centrifuges qui combattent le régime au pouvoir pour leur dire qu’il existe d’autres moyens pour exprimer leurs divergences de vue que les affrontements armés dont les victimes sont des innocents ».
Selon Mme Ngaidama, le choix de ce thème revêt une importance capitale, car la famille est « le creuset de la solidarité ».
« Pour qu’une communauté vive en paix et cultive efficacement et durablement la paix, il faut que la cellule familiale elle-même vive en paix », a-t-elle ajouté.
Pour la présidente de l’AFCA, « une famille qui vit en paix favorise l’unité, la stabilité, l’épanouissement et le développement ».
Or aujourd’hui, a-t-elle déploré, « la famille centrafricaine est minée par un cycle de violences récurrents, nés des querelles entre les hommes politiques pour la conquête du pouvoir ».
Rappelant la situation sécuritaire qui engendre des déplacements des personnes dans certaines régions du pays, Mme Léa Ngaidama a déclaré que « les défis et les obstacles sont nombreux et multiformes qu’il faudra se mettre ensemble pour les surmonter ».
En outre, les organisateurs de la manifestation demandent aux autorités d’ « écouter la voix de la population qui est celle de la sagesse et de s’ouvrir au dialogue et à la bonne gouvernance pour le retour définitif de la cohésion nationale et par conséquent de la paix ».
« Par cette grande marche que nous venons de faire, nous avons voulu lancer un cri du cœur à nos frères qui constituent les forces centrifuges qui combattent le régime au pouvoir pour leur dire qu’il existe d’autres moyens pour exprimer leurs divergences de vue que les affrontements armés dont les victimes sont des innocents ».