Organisé par le ministère de l’Economie, du Plan et la Coopération Internationale avec l’appui de la Banque Mondiale et le Programme des Nations Unies pour le Développement (Pnud), cet atelier a pour objectif d’identifier les causes profondes de la dégradation des conditions de vie des populations de manière à proposer une orientation pertinente pour le programme de lutte contre la pauvreté.
Le ministre Sylvain Maliko a souligné que « le document sur le diagnostic de la pauvreté présente deux enjeux majeurs dont le premier est d’ordre stratégique en vue de relancer la croissance économique et de réduire de manière significative la pauvreté, d’une part, et le second est d’ordre financier afin de convaincre les bailleurs sur la vision du gouvernement et d’emporter leur adhésion de manière à assurer les niveaux de ressources requises pour ce qui est de la mise en œuvre de nos programmes de développement ».
« Il permettra un allègement substantiel de la dette extérieure et une réelle rotation de ces ressources en faveur des populations les plus démunies », a poursuivi M. Sylvain Maliko.
Au terme du séminaire, a ajouté Sylvain Maliko, trois résultats sont attendus, à savoir que le profil et les déterminants de la pauvreté analysés et commentés, les relations de cause à effet entre la pauvreté et les principales caractéristiques socio-démographiques et économique soient mises en évidence et que les capacités nationales en matière d’analyse soient renforcées.
Notons que la république Centrafricaine, pays en situation post-conflit, est classée au 171è rang sur 177 pays dans le monde par rapport à l’indicateur de développement Humain (IDHM). Elle est 85è sur 94 pays en développement par rapport à l’indicateur de pauvreté Humaine (Iph), ce pays qui était plongé dans un cercle vicieux de troubles politico-militaires connaît une pauvreté monétaire et humaine sans précédent avec 66,6% et 84% de sa population vivant respectivement sous les seuils de 1 et 2 $ par jour. En outre, on note que l’espérance de vie est passée de 50 à 39 ans sur la période allant de 1988 à 2005 montrant ainsi une tendance à la détérioration continue des conditions de vie des populations.
Le ministre Sylvain Maliko a souligné que « le document sur le diagnostic de la pauvreté présente deux enjeux majeurs dont le premier est d’ordre stratégique en vue de relancer la croissance économique et de réduire de manière significative la pauvreté, d’une part, et le second est d’ordre financier afin de convaincre les bailleurs sur la vision du gouvernement et d’emporter leur adhésion de manière à assurer les niveaux de ressources requises pour ce qui est de la mise en œuvre de nos programmes de développement ».
« Il permettra un allègement substantiel de la dette extérieure et une réelle rotation de ces ressources en faveur des populations les plus démunies », a poursuivi M. Sylvain Maliko.
Au terme du séminaire, a ajouté Sylvain Maliko, trois résultats sont attendus, à savoir que le profil et les déterminants de la pauvreté analysés et commentés, les relations de cause à effet entre la pauvreté et les principales caractéristiques socio-démographiques et économique soient mises en évidence et que les capacités nationales en matière d’analyse soient renforcées.
Notons que la république Centrafricaine, pays en situation post-conflit, est classée au 171è rang sur 177 pays dans le monde par rapport à l’indicateur de développement Humain (IDHM). Elle est 85è sur 94 pays en développement par rapport à l’indicateur de pauvreté Humaine (Iph), ce pays qui était plongé dans un cercle vicieux de troubles politico-militaires connaît une pauvreté monétaire et humaine sans précédent avec 66,6% et 84% de sa population vivant respectivement sous les seuils de 1 et 2 $ par jour. En outre, on note que l’espérance de vie est passée de 50 à 39 ans sur la période allant de 1988 à 2005 montrant ainsi une tendance à la détérioration continue des conditions de vie des populations.