Commandité par le Ministère de l’Education nationale, en partenariat avec l’UNESCO et le groupe Kamach, ce forum est une plateforme d’échange d’informations, de sensibilisation et de discussion sur la situation et les perspectives de la recherche centrafricaine et sur son importance pour le processus de développement intégral et durable du pays.
Le forum national sur la science, la technologie et l’innovation pour le développement permet également de poser les jalons d’une stratégie nationale visant à bâtir un développement endogène et autoentretenu de la République Centrafricaine sur des fondements scientifiques et technologiques.
Ce forum rassemble plus de 300 participants composés de décideurs politiques centrafricains, des chercheurs et technologues, des opérateurs économiques, des représentants des ONG et organisations internationales, des journalistes et étudiants.
Les participants à ce forum s’emploieront, jusqu’au 18 mars 2010, à travers la plénière et les ateliers, à adopter des recommandations devant permettre l’élaboration et la mise en œuvre d’une politique en matière de la science, de la technique et de l’innovation (STI), d’un système national de recherche scientifique, technique et d’innovation, enfin, un mécanisme de financement de la recherche scientifique et de l’innovation pour accroître le potentiel scientifique et technologique du pays.
Le Professeur Gustave Bobossi Séréngbé, Recteur de l’Université de Bangui et Président du comité nationale d’organisation de ce forum, s’attend, à la fin des travaux, à la définition « de façon concertée, des priorités de recherche et la création des alliances stratégiques entre les chercheurs, décideurs politiques et acteurs sociaux aux fin d’un développement durable de la République Centrafricaine ».
Le Premier Ministre Faustin Archange Touadéra a reconnu que « la République Centrafricaine dispose d’énormes richesses du sous-sol. Malheureusement, faute de ressources humaines qualifiées et de technologies adéquates, le pays ne peut les exploiter. Ce qui, naturellement, nous empêche d’avoir les moyens de répondre efficacement aux aspirations, combien légitimes de nos compatriotes, au confort matériel et au bien être social ».
Le hall de l’Assemblée nationale a été aménagé pour une exposition scientifique. L’Institut Pasteur, l’Institut Centrafricaine pour la Recherche Agricole (ICRA), l’Ecole Normale d'Enseignement Supérieur (ENES), l’Institut Supérieur de Développement Rural (ISDR), la Faculté des Sciences de la Santé (FACSS), des artisans, des guérisseurs traditionnels et autres scientifiques y ont exposé les résultats de leurs travaux ou leurs produits.
Les travaux du forum national sur la science, la technologie et l’innovation pour le développement prendront fin jeudi 18 mars 2010.
Le forum national sur la science, la technologie et l’innovation pour le développement permet également de poser les jalons d’une stratégie nationale visant à bâtir un développement endogène et autoentretenu de la République Centrafricaine sur des fondements scientifiques et technologiques.
Ce forum rassemble plus de 300 participants composés de décideurs politiques centrafricains, des chercheurs et technologues, des opérateurs économiques, des représentants des ONG et organisations internationales, des journalistes et étudiants.
Les participants à ce forum s’emploieront, jusqu’au 18 mars 2010, à travers la plénière et les ateliers, à adopter des recommandations devant permettre l’élaboration et la mise en œuvre d’une politique en matière de la science, de la technique et de l’innovation (STI), d’un système national de recherche scientifique, technique et d’innovation, enfin, un mécanisme de financement de la recherche scientifique et de l’innovation pour accroître le potentiel scientifique et technologique du pays.
Le Professeur Gustave Bobossi Séréngbé, Recteur de l’Université de Bangui et Président du comité nationale d’organisation de ce forum, s’attend, à la fin des travaux, à la définition « de façon concertée, des priorités de recherche et la création des alliances stratégiques entre les chercheurs, décideurs politiques et acteurs sociaux aux fin d’un développement durable de la République Centrafricaine ».
Le Premier Ministre Faustin Archange Touadéra a reconnu que « la République Centrafricaine dispose d’énormes richesses du sous-sol. Malheureusement, faute de ressources humaines qualifiées et de technologies adéquates, le pays ne peut les exploiter. Ce qui, naturellement, nous empêche d’avoir les moyens de répondre efficacement aux aspirations, combien légitimes de nos compatriotes, au confort matériel et au bien être social ».
Le hall de l’Assemblée nationale a été aménagé pour une exposition scientifique. L’Institut Pasteur, l’Institut Centrafricaine pour la Recherche Agricole (ICRA), l’Ecole Normale d'Enseignement Supérieur (ENES), l’Institut Supérieur de Développement Rural (ISDR), la Faculté des Sciences de la Santé (FACSS), des artisans, des guérisseurs traditionnels et autres scientifiques y ont exposé les résultats de leurs travaux ou leurs produits.
Les travaux du forum national sur la science, la technologie et l’innovation pour le développement prendront fin jeudi 18 mars 2010.
