Organisé par le ministère de la Santé publique et de la population avec le concours de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), cet atelier regroupe une vingtaine de professionnels des médias qui seront édifiés pendant trois jours sur l’épidémiologie, les modes de transmission, les facteurs favorisant la transmission, les moyens de prévention et les stratégies de prévention en Centrafrique, ainsi que l’accès universel aux services de prévention, de traitement et de soins du VIH/SIDA.
M. Jean Pierre Waboué a déclaré à cette occasion que « le gouvernement centrafricain a initié des actions concrètes pour accélérer la prévention du VIH/SIDA afin d’apporter une meilleure contribution à la lutte contre ce fléau ».
« Des efforts ont abouti à la décentralisation des services de dépistage et de la prévention du VIH/Sida des parents et enfants dans la ville de Bangui et des provinces », a-t-il ajouté.
Précisons que sur 240.000 malades identifiées, seules 3000 reçoivent les traitements antirétroviraux.
Il est à noter que l’OMS et l’ONU SIDA ont annoncé ce lancement à l’échelle mondiale et elles visent à fournir aux pays les plus touchés, un appui en vue de garantir l’accès à la thérapie antirétrovirale qui va prendre en compte au moins trois millions de personnes vivant avec le VIH/SIDA dans les pays à faibles revenus.
Cet atelier qui prendra fin le 30 novembre prochain s’est déroulé en présence du docteur Jeannine NTIBANYIHA, chargé de programme VHI/SIDA à l’OMS et du directeur du centre national de référence des infections sexuellement transmissibles et de la thérapie antirétrovirale, docteur Diemer Henri
M. Jean Pierre Waboué a déclaré à cette occasion que « le gouvernement centrafricain a initié des actions concrètes pour accélérer la prévention du VIH/SIDA afin d’apporter une meilleure contribution à la lutte contre ce fléau ».
« Des efforts ont abouti à la décentralisation des services de dépistage et de la prévention du VIH/Sida des parents et enfants dans la ville de Bangui et des provinces », a-t-il ajouté.
Précisons que sur 240.000 malades identifiées, seules 3000 reçoivent les traitements antirétroviraux.
Il est à noter que l’OMS et l’ONU SIDA ont annoncé ce lancement à l’échelle mondiale et elles visent à fournir aux pays les plus touchés, un appui en vue de garantir l’accès à la thérapie antirétrovirale qui va prendre en compte au moins trois millions de personnes vivant avec le VIH/SIDA dans les pays à faibles revenus.
Cet atelier qui prendra fin le 30 novembre prochain s’est déroulé en présence du docteur Jeannine NTIBANYIHA, chargé de programme VHI/SIDA à l’OMS et du directeur du centre national de référence des infections sexuellement transmissibles et de la thérapie antirétrovirale, docteur Diemer Henri