Il s’agit d’une part de l’enquête de la séro prévalence du sida à travers un sondage sur les sites sentinelles qui avait pour cibles les femmes enceintes, les accidentés et les patients des infections sexuellement transmissibles (Ist). Selon l’échantillon de cette enquête, le taux global de prévalence est de 9,04%.
Tandis que pour l’enquête à indicateurs multiples (Mics), enquête qui se veut prospective, le taux d’infection sur le plan national est de 6,2%.
Par rapport aux résultats de ces enquêtes, qui reflètent selon le comportement sexuel de la population centrafricaine, le ministère de la Santé publique et de la population envisage d’entreprendre quelques actions prioritaires pour l’année prochaine, en vue de la réduction de l’infection à Vih/sida.
Le docteur Lala a déclaré à cet effet que les actions de l’année prochaine seront axées sur cinq domaines prioritaires que sont la prévention et le stoppage des nouvelles infections, la prise en charge globale des personnes vivant avec le Vih/sida, la décentralisation de la prise en charge afin d’assurer une meilleure coordination de ses activités, la mobilisation et distribution rationnelle des ressources et un bon système de suivi et évaluation.
Dans cette optique, a-t-il fait remarquer, il faut renforcer les structures de dépistage dans tout le pays et convaincre la population du bien fondé et des avantages du dépistage volontaire.
« Il faut faire en sorte que la population n’ait plus peur ni honte de sa sérologie », a-t-il déclaré.
Pour ce qui concerne les malades sous Antirétro viraux (ARV), « nous entendons passer en 2012, de 8 000 à 25.000 et éviter les ruptures » dans le traitement ainsi qu’un appui alimentaire aux malades et pour cela « il y a le PAM qui nous appuie déjà », a-t-il dit.
Toutefois, il faut que des efforts se fassent au niveau national pour confirmer l’engagement du gouvernement dans la lutte contre le sida
Le ministre de la Santé publique et de la population avait organisé cette conférence de presse dans le cadre de la célébration de la journée mondiale de lutte contre le sida 2007.
Tandis que pour l’enquête à indicateurs multiples (Mics), enquête qui se veut prospective, le taux d’infection sur le plan national est de 6,2%.
Par rapport aux résultats de ces enquêtes, qui reflètent selon le comportement sexuel de la population centrafricaine, le ministère de la Santé publique et de la population envisage d’entreprendre quelques actions prioritaires pour l’année prochaine, en vue de la réduction de l’infection à Vih/sida.
Le docteur Lala a déclaré à cet effet que les actions de l’année prochaine seront axées sur cinq domaines prioritaires que sont la prévention et le stoppage des nouvelles infections, la prise en charge globale des personnes vivant avec le Vih/sida, la décentralisation de la prise en charge afin d’assurer une meilleure coordination de ses activités, la mobilisation et distribution rationnelle des ressources et un bon système de suivi et évaluation.
Dans cette optique, a-t-il fait remarquer, il faut renforcer les structures de dépistage dans tout le pays et convaincre la population du bien fondé et des avantages du dépistage volontaire.
« Il faut faire en sorte que la population n’ait plus peur ni honte de sa sérologie », a-t-il déclaré.
Pour ce qui concerne les malades sous Antirétro viraux (ARV), « nous entendons passer en 2012, de 8 000 à 25.000 et éviter les ruptures » dans le traitement ainsi qu’un appui alimentaire aux malades et pour cela « il y a le PAM qui nous appuie déjà », a-t-il dit.
Toutefois, il faut que des efforts se fassent au niveau national pour confirmer l’engagement du gouvernement dans la lutte contre le sida
Le ministre de la Santé publique et de la population avait organisé cette conférence de presse dans le cadre de la célébration de la journée mondiale de lutte contre le sida 2007.