A cette occasion, Mme Doté a demandé au gouvernement d’envisager le plus rapidement possible, les Etats généraux de la santé « afin d’actualiser sinon d’intégrer les nouvelles normes internationales en la matière dans les programmes de développement sanitaire de la République Centrafricaine en tenant compte de toutes les préoccupations de l’heure, qui restent et demeurent une véritable préoccupation ».
Elle a ensuite déclaré que la lutte contre la pauvreté en milieu féminin, par des actions soutenues contre l’analphabétisme et les pratiques traditionnelles néfastes à là santé de la femme, la pandémie du sida, devrait dorénavant guider tous les acteurs « pour qu’ensemble, nous disons enfin que la femme centrafricaine ne doit plus mourir en donnant la vie ». Car dans son discours d’ouverture, le Docteur Sépou, président du comité d’organisation de ces assises, avait déclaré que chaque cinq minutes, une femme mourrait simplement parce qu’elle voulait donner la vie à un autre être humain, et que cela constituait « une injustice sanitaire ».
Enfin elle a demandé que le gouvernement instaure une journée nationale de maternité sans risque afin de mobiliser toute la communauté sur la question de la santé de la mère et de l’enfant.
Dans les recommandations, les participants ont demandé la décentralisation des sages femmes concentrées à Bangui et la formation d’autres agents de santé dans le but de parvenir à une bonne couverture sanitaire de toute l’étendue du territoire nationale.
Organisée par le ministère de la Santé publique, les participants constitués de spécialistes de la santé maternelle et infantile et les préfets ont réfléchi pendant trois jours et détecté les défis à relever en vue de l’amélioration de la santé de la mère et de l’enfant centrafricains dans le cadre des Objectifs du millénaire pour le développement.
Elle a ensuite déclaré que la lutte contre la pauvreté en milieu féminin, par des actions soutenues contre l’analphabétisme et les pratiques traditionnelles néfastes à là santé de la femme, la pandémie du sida, devrait dorénavant guider tous les acteurs « pour qu’ensemble, nous disons enfin que la femme centrafricaine ne doit plus mourir en donnant la vie ». Car dans son discours d’ouverture, le Docteur Sépou, président du comité d’organisation de ces assises, avait déclaré que chaque cinq minutes, une femme mourrait simplement parce qu’elle voulait donner la vie à un autre être humain, et que cela constituait « une injustice sanitaire ».
Enfin elle a demandé que le gouvernement instaure une journée nationale de maternité sans risque afin de mobiliser toute la communauté sur la question de la santé de la mère et de l’enfant.
Dans les recommandations, les participants ont demandé la décentralisation des sages femmes concentrées à Bangui et la formation d’autres agents de santé dans le but de parvenir à une bonne couverture sanitaire de toute l’étendue du territoire nationale.
Organisée par le ministère de la Santé publique, les participants constitués de spécialistes de la santé maternelle et infantile et les préfets ont réfléchi pendant trois jours et détecté les défis à relever en vue de l’amélioration de la santé de la mère et de l’enfant centrafricains dans le cadre des Objectifs du millénaire pour le développement.