Le Secrétaire général de l’Université de Bangui a déclaré que durant une année, les jeunes chercheurs ont prouvé par d’intenses efforts intellectuels à conduire une thématique scientifique hautement intéressante pour la promotion de l’éducation en Afrique.
« Durant cette journée, vous aurez à charge de renforcer les insignifiances que vous aurez identifiées permettant ainsi de produire un rapport final conséquent. Son contenu amélioré permettra ainsi de nourrir les réflexions sur les stratégies et les actions concrètes à promouvoir pour la morale et la conscience à la citoyenneté », a-t-il souligné.
M. Ngoulo a enfin promis que les critiques et suggestions formulées lors de cette réunion "conduiraient à mettre à la disposition des utilisateurs que sont les décideurs, les donateurs et les autres partenaires du système éducatif centrafricain un document de qualité pratique sur le thème ici traité ».
Il convient de noter que le ROCARE rassemble aujourd’hui plus de 400 chercheurs membres actifs répartis dans seize (16) pays francophones et anglophones de l’Afrique de l’Ouest et du Centre, à savoir Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Congo, Côte d’Ivoire, Gambie, Ghana, Guinée, Mali, Mauritanie, Niger, Nigeria, République Centrafricaine, Sénégal, Sierra Léone et Togo.
La coordination nationale fait des nouveaux nés du réseau, avec celle du Congo. Elle n’a été mise en place qu’en février 2008 après 19 ans d’existence du ROCARE sur le continent.
Le ROCARE a pour objectif entre autres l’amélioration des conditions de recherche et l’implication des voix des chercheurs en éducation en Afrique ; la promotion de l’expertise et la culture de la recherche afin d’améliorer les pratiques et les politiques éducatives.
« Durant cette journée, vous aurez à charge de renforcer les insignifiances que vous aurez identifiées permettant ainsi de produire un rapport final conséquent. Son contenu amélioré permettra ainsi de nourrir les réflexions sur les stratégies et les actions concrètes à promouvoir pour la morale et la conscience à la citoyenneté », a-t-il souligné.
M. Ngoulo a enfin promis que les critiques et suggestions formulées lors de cette réunion "conduiraient à mettre à la disposition des utilisateurs que sont les décideurs, les donateurs et les autres partenaires du système éducatif centrafricain un document de qualité pratique sur le thème ici traité ».
Il convient de noter que le ROCARE rassemble aujourd’hui plus de 400 chercheurs membres actifs répartis dans seize (16) pays francophones et anglophones de l’Afrique de l’Ouest et du Centre, à savoir Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Congo, Côte d’Ivoire, Gambie, Ghana, Guinée, Mali, Mauritanie, Niger, Nigeria, République Centrafricaine, Sénégal, Sierra Léone et Togo.
La coordination nationale fait des nouveaux nés du réseau, avec celle du Congo. Elle n’a été mise en place qu’en février 2008 après 19 ans d’existence du ROCARE sur le continent.
Le ROCARE a pour objectif entre autres l’amélioration des conditions de recherche et l’implication des voix des chercheurs en éducation en Afrique ; la promotion de l’expertise et la culture de la recherche afin d’améliorer les pratiques et les politiques éducatives.