
Vue des armes et des munitions, Photo-ACAP/Koutou
Il a exprimé sa satisfaction pour la restitution par la population de « ces effets militaires constitués de pistolets automatiques, de chargeurs et munitions et de grenades très dangereux pour la population civile », exhortant la population, réticente, à restituer tous autres effets militaires qu’elles garderaient encore par devers eux.
« Ce sont des effets dangereux, et nous ne pouvons pas continuer à vivre avec les armes, nous voulons la paix, rien que la paix », a-t-il lancé à l’endroit de la population.
« Nos partenaires doivent nous aider, nous prêter mains fortes, afin que ces jeunes là ne puissent pas vraiment continuer à utiliser des armes de destruction massive », a précisé l’ancien sous préfet de Bimbo, faisant allusion aux jeunes qui utilisent ces armes pour pratiquer le braquage.
La méthode utilisée dans cette campagne de sensibilisation est le « porte à porte » et a permis au comité de déposer au ministère déléguée à la défense nationale plus de 9000 armes et munitions de guerre.
« Ce sont des effets dangereux, et nous ne pouvons pas continuer à vivre avec les armes, nous voulons la paix, rien que la paix », a-t-il lancé à l’endroit de la population.
« Nos partenaires doivent nous aider, nous prêter mains fortes, afin que ces jeunes là ne puissent pas vraiment continuer à utiliser des armes de destruction massive », a précisé l’ancien sous préfet de Bimbo, faisant allusion aux jeunes qui utilisent ces armes pour pratiquer le braquage.
La méthode utilisée dans cette campagne de sensibilisation est le « porte à porte » et a permis au comité de déposer au ministère déléguée à la défense nationale plus de 9000 armes et munitions de guerre.