Les membres de la Cour Constitutionnelle, Photo-ACAP/Kogbessoua
Selon M. Marcel Malonga, la rentrée solennelle de la Cour Constitutionnelle est un acte de l’article18 de la loi organique numero 050.14 du 29 décembre 2005 et constitue "l’instance privilégiée pour jeter un regard critique et objectif sur les activités de la Cour, afin de mettre en exergue ce qui a été fait et ce qui n’a pas été fait, afin d’en déterminer les causes et de proposer au grand décideurs le remède approprié".
"Les membres de la Cour sont les principaux conseillers du Président de la République dans le domaine constitutionnel, cela permettrait de corriger des erreurs éventuelles dans la conception et la mise en œuvre de certains textes de lois", a-t-il indiqué.
Car, a-t-il déclaré, "la Constitution doit être respectée et appliquée sans faille, et nécessite la compétence des membres de la Cour Constitutionnelle" et que "les membres de la Cour Constitutionnelle doivent tout mettre en œuvre pour ne pas induire le chef de l’Etat en erreur".
"Les membres de la Cour sont les principaux conseillers du Président de la République dans le domaine constitutionnel, cela permettrait de corriger des erreurs éventuelles dans la conception et la mise en œuvre de certains textes de lois", a-t-il indiqué.
Car, a-t-il déclaré, "la Constitution doit être respectée et appliquée sans faille, et nécessite la compétence des membres de la Cour Constitutionnelle" et que "les membres de la Cour Constitutionnelle doivent tout mettre en œuvre pour ne pas induire le chef de l’Etat en erreur".
Le président Marcel Malonga, Photo-ACAP/Kogbessoua
M. Marcel Malonga a fait savoir que l’article 28 de la loi organique sur la Cour Constitutionnelle dispose que "les lois organiques , avant leur promulgation sont différées par le Président de la République à la Cour Constitutionnelle pour vérification de leur conformité avec la Constitution".
Il a souhaité que les relations entre la Cour Constitutionnelle et les autres institutions de la République s'améliorent davantage en vue de l’affermissement de l’Etat de droit et de la démocratie en République Centrafricaine.
Le président de la Cour Constitutionnelle a exhorté les membres de cette institution à faire du retour de la paix, de la sécurité et de la prospérité du peuple centrafricain l'objet de leurs préoccupations quotidienne.
Il a souhaité que les relations entre la Cour Constitutionnelle et les autres institutions de la République s'améliorent davantage en vue de l’affermissement de l’Etat de droit et de la démocratie en République Centrafricaine.
Le président de la Cour Constitutionnelle a exhorté les membres de cette institution à faire du retour de la paix, de la sécurité et de la prospérité du peuple centrafricain l'objet de leurs préoccupations quotidienne.