Profitant de la circonstance, le Président François Bozizé a annoncé quelques mesures visant à dynamiser le secteur de la culture. Il s’agit de la construction d’un complexe de la culture et du savoir ; la réhabilitation de cinq centres culturels régionaux ; la création de dix centres de lecture et d’animation culturelle et la mise en place de six carrefours culturels à Bangui et dans certaines villes de provinces.
Dans son mot de bienvenue à l’endroit des invités à l’Espace Linga Téré, Vincent Mombachaka, Directeur du centre, a quasiment procédé à un procès de la culture en République Centrafricaine, dominé par la dépravation des mœurs et l’absence du patriotisme. Il a fait la nette différence entre les mentalités et comportements en 1979 et ceux d’aujourd’hui.
« Les valeurs de 1979 n’existent plus de nos jours et les jeunes manquent de repères », a clamé Vincent Mombachaka. Il a fait allusion à des pratiques rituelles telles que le « Ngarké » et le « soumalé » qui sanctionnent la fin de l’adolescence et le passage à l’âge adulte. Ces organisations secrètes enseignaient le sens du sacrifice, l’envie de travailler, la réprobation des valeurs immorales, etc.
Vincent Mombachaka a également soutenu que les mutineries, la culture de la destruction des biens publics et privés, les crises politico-militaires et l’incivisme ayant provoqué des désarrois dans les familles et le pays résultent de la rupture avec la culture ancestrale. Au point que « la République Centrafricaine est devenu un pays sans culture, où les uns se méfient des autres », a poursuivi le directeur de l’Espace Linga Téré.
Vincent Mombachaka a rappelé quelques réalisations faites dans le domaine de la culture. Il s’agit, entre autre de la loi de dépénalisation des délits de presse ; l’aide à 20 orchestres pour se doter en instruments de musique ; l’aide à la réhabilitation du siège du Bureau Centrafricain des Droits d’Auteurs, etc.
La rencontre entre le Président de la République François Bozizé et les artistes et hommes des médias communautaires à l’Espace Linga Téré a été sanctionnée par une déclaration des artistes, mettant en exergue « l’importance de la culture et des radios communautaires dans la préservation de la culture et le développement du pays
Dans son mot de bienvenue à l’endroit des invités à l’Espace Linga Téré, Vincent Mombachaka, Directeur du centre, a quasiment procédé à un procès de la culture en République Centrafricaine, dominé par la dépravation des mœurs et l’absence du patriotisme. Il a fait la nette différence entre les mentalités et comportements en 1979 et ceux d’aujourd’hui.
« Les valeurs de 1979 n’existent plus de nos jours et les jeunes manquent de repères », a clamé Vincent Mombachaka. Il a fait allusion à des pratiques rituelles telles que le « Ngarké » et le « soumalé » qui sanctionnent la fin de l’adolescence et le passage à l’âge adulte. Ces organisations secrètes enseignaient le sens du sacrifice, l’envie de travailler, la réprobation des valeurs immorales, etc.
Vincent Mombachaka a également soutenu que les mutineries, la culture de la destruction des biens publics et privés, les crises politico-militaires et l’incivisme ayant provoqué des désarrois dans les familles et le pays résultent de la rupture avec la culture ancestrale. Au point que « la République Centrafricaine est devenu un pays sans culture, où les uns se méfient des autres », a poursuivi le directeur de l’Espace Linga Téré.
Vincent Mombachaka a rappelé quelques réalisations faites dans le domaine de la culture. Il s’agit, entre autre de la loi de dépénalisation des délits de presse ; l’aide à 20 orchestres pour se doter en instruments de musique ; l’aide à la réhabilitation du siège du Bureau Centrafricain des Droits d’Auteurs, etc.
La rencontre entre le Président de la République François Bozizé et les artistes et hommes des médias communautaires à l’Espace Linga Téré a été sanctionnée par une déclaration des artistes, mettant en exergue « l’importance de la culture et des radios communautaires dans la préservation de la culture et le développement du pays