La cinquième journée a débuté dans les premières heures de la matinée par le nettoyage de l’enceinte de la psychiatrie et le lavage des salles où sont hospitalisés les malades schizophrènes.
« Nous nettoyons, la salle et la concession de la psychiatrie pour mettre les malades à l’aise parce que certains sont abandonnés à eux-mêmes », a déclaré Ahamat Hadji.
« Nous avons choisi la psychiatrie parce que notre association s’occupe des malades mentaux. Nous voulons montrer au malades que nous sommes proches d’eux », a expliqué Mme Flore Yamo, animatrice de l’association cœur amour avant de lancer un appel à l’endroit du gouvernement et les partenaires à venir en aide aux malades mentaux.
« Nous demandons au gouvernement et les partenaires de prendre en charge non seulement les soins des schizophrènes mais également leur réinsertion dans la vie sociale, parce que beaucoup d’entre eux, n’ont pas de parents. », a-t-elle lancé.
Dans la même journée, à 15 heures, les membres de l’ACA et les invités se sont rendus au Centre Jean 23 où le psychiatre Docteur André Tabo a animé une conférence-débat sur le thème « Mieux connaître la schizophrénie pour mieux la soigner en Centrafrique ».
Le docteur Tabo, a, dans son intervention, édifié l’assistance sur les signes cliniques de la schizophrénie. Selon M Tabo, un pour cent des bébés qui naissent dans le monde sont schizophrènes.
« La cause la plus plausible, c’est le fait que le cerveau ne s’est pas bien développé, car beaucoup des hypothèses n’ont pas révélé la cause sûre de la schizophrénie », a-t-il indiqué.
Il a fait savoir que, la prise en charge d’un schizophrène implique plusieurs acteurs à savoir, personnel soignant spécialisé et non spécialisé, psychologue, travailleurs sociaux et la famille.
Le docteur Tabo, a par ailleurs déploré le manque de médicaments adéquats au Centre Hospitalier Universitaire de Bangui, avant de souligner que, le médicament le plus efficace et moins coûteux contre la schizophrénie coûte 102 000 F Cfa.
« Ce qui veut dire un Centrafricain moyen éprouve d’énormes difficultés à prendre en charge son parent schizophrène », a déploré le psychiatre.
« Par conséquent, un soin sociothérapie et les différents soutiens des familles vont donner de l’espoir pour un demain et une meilleure qualité de vie aux malades mentaux», a-t-il conclu.
L’association cœur amour célèbre les journées francophones de la schizophrénie au mois de mars de chaque.
« Nous nettoyons, la salle et la concession de la psychiatrie pour mettre les malades à l’aise parce que certains sont abandonnés à eux-mêmes », a déclaré Ahamat Hadji.
« Nous avons choisi la psychiatrie parce que notre association s’occupe des malades mentaux. Nous voulons montrer au malades que nous sommes proches d’eux », a expliqué Mme Flore Yamo, animatrice de l’association cœur amour avant de lancer un appel à l’endroit du gouvernement et les partenaires à venir en aide aux malades mentaux.
« Nous demandons au gouvernement et les partenaires de prendre en charge non seulement les soins des schizophrènes mais également leur réinsertion dans la vie sociale, parce que beaucoup d’entre eux, n’ont pas de parents. », a-t-elle lancé.
Dans la même journée, à 15 heures, les membres de l’ACA et les invités se sont rendus au Centre Jean 23 où le psychiatre Docteur André Tabo a animé une conférence-débat sur le thème « Mieux connaître la schizophrénie pour mieux la soigner en Centrafrique ».
Le docteur Tabo, a, dans son intervention, édifié l’assistance sur les signes cliniques de la schizophrénie. Selon M Tabo, un pour cent des bébés qui naissent dans le monde sont schizophrènes.
« La cause la plus plausible, c’est le fait que le cerveau ne s’est pas bien développé, car beaucoup des hypothèses n’ont pas révélé la cause sûre de la schizophrénie », a-t-il indiqué.
Il a fait savoir que, la prise en charge d’un schizophrène implique plusieurs acteurs à savoir, personnel soignant spécialisé et non spécialisé, psychologue, travailleurs sociaux et la famille.
Le docteur Tabo, a par ailleurs déploré le manque de médicaments adéquats au Centre Hospitalier Universitaire de Bangui, avant de souligner que, le médicament le plus efficace et moins coûteux contre la schizophrénie coûte 102 000 F Cfa.
« Ce qui veut dire un Centrafricain moyen éprouve d’énormes difficultés à prendre en charge son parent schizophrène », a déploré le psychiatre.
« Par conséquent, un soin sociothérapie et les différents soutiens des familles vont donner de l’espoir pour un demain et une meilleure qualité de vie aux malades mentaux», a-t-il conclu.
L’association cœur amour célèbre les journées francophones de la schizophrénie au mois de mars de chaque.