Dans un communiqué rendu public mardi soir, la Présidence de la République qualifie « d’allégations grotesques ou encore une exagération », les affirmations d’Human Rights Watch, qui « constituent une série de contre-vérités de nature à décrédibiliser l’action engagée par le Président de la République, Chef de l’Etat, depuis le sursaut patriotique du 15 mars 2003 ».
Bangui réagit ainsi aux affirmations d’Human Rights Watch qualifiant la situation dans le Nord d’ «Etat d’anarchie » et appelant l’Union Européenne à « agir contre les abus en RCA ».
Pour les autorités centrafricaines, « ces allégations constituent une série de contre vérités, organisée et mise en œuvre en vue de freiner l’élan de solidarité de la communauté internationale en faveur de la RCA, « pays pauvre très endetté ».
Selon les termes du communiqué, « Des preuves existent à suffisance et qui témoignent la saisine des instances judiciaires centrafricaines et des sanctions pénales systématiques prononcées à l’encontre des auteurs de violences et abus lorsqu’ils sont constatés ».
Se fondant sur le satisfecit des institutions internationales à l’égard de la République Centrafricaine pour les réformes entreprises en vue de l’assainissement des finances publiques, le gouvernement considère ce genre de déclarations qui présentent « un tableau sombre et irréaliste de la RCA » comme une action pouvant gâcher les prochaines négociations décisives pour l’avenir de la Centrafrique le 27 octobre prochain à Bruxelles.
« Que Human Right Watch, s’inquiète de la mise en œuvre des résolutions de l’organisation universelle ou s’insurge contre la présence et l’appui militaire de la France en faveur de la Centrafrique, au demeurant fondés sur les accords de défense signés entre deux Etats souverains, participe de la simplification très remarquable des réalités de la République Centrafricaine de la part d’une organisation pour laquelle la RCA accord un grand intérêt », conclut le communiqué.
Il convient de préciser que les informations dont il est question visent les Forces de Sécurité Centrafricaine en général, et singulièrement les éléments de la Garde Présidentielle. Ces derniers sont accusés d’exactions contre les civils dont des dizaines seraient forcées à fuir leurs maisons … si elles ne sont pas incendiées.
Bangui réagit ainsi aux affirmations d’Human Rights Watch qualifiant la situation dans le Nord d’ «Etat d’anarchie » et appelant l’Union Européenne à « agir contre les abus en RCA ».
Pour les autorités centrafricaines, « ces allégations constituent une série de contre vérités, organisée et mise en œuvre en vue de freiner l’élan de solidarité de la communauté internationale en faveur de la RCA, « pays pauvre très endetté ».
Selon les termes du communiqué, « Des preuves existent à suffisance et qui témoignent la saisine des instances judiciaires centrafricaines et des sanctions pénales systématiques prononcées à l’encontre des auteurs de violences et abus lorsqu’ils sont constatés ».
Se fondant sur le satisfecit des institutions internationales à l’égard de la République Centrafricaine pour les réformes entreprises en vue de l’assainissement des finances publiques, le gouvernement considère ce genre de déclarations qui présentent « un tableau sombre et irréaliste de la RCA » comme une action pouvant gâcher les prochaines négociations décisives pour l’avenir de la Centrafrique le 27 octobre prochain à Bruxelles.
« Que Human Right Watch, s’inquiète de la mise en œuvre des résolutions de l’organisation universelle ou s’insurge contre la présence et l’appui militaire de la France en faveur de la Centrafrique, au demeurant fondés sur les accords de défense signés entre deux Etats souverains, participe de la simplification très remarquable des réalités de la République Centrafricaine de la part d’une organisation pour laquelle la RCA accord un grand intérêt », conclut le communiqué.
Il convient de préciser que les informations dont il est question visent les Forces de Sécurité Centrafricaine en général, et singulièrement les éléments de la Garde Présidentielle. Ces derniers sont accusés d’exactions contre les civils dont des dizaines seraient forcées à fuir leurs maisons … si elles ne sont pas incendiées.