Les travaux se sont ouverts par la lecture des messages des institutions internationales et sous régionale telles que l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), l’Union Africaine et des Nations unies qui ont témoigné leur soutien à la République Centrafricaine et souhaité que le DPI instaure une paix définitive en République Centrafricaine.
C'est notamment le cas de maître Djovi Gally, envoyé spécial de l'OIF, qui a délivré un message du président Abdou Diouf demandant aux Centrafricains de "faire le bilan sans complaisance de 50 ans de vie commune" sans pour autant "se soustraire aux exigences du respect des institutions".
Ensuite, les représentants des différents groupes politico-militaires, à l’exception du Fdpc d’Abdoulaye Miskine, absent au rendez-vous de Bangui, ont tous pris l’engagement d’ « enterrer définitivement la hache de guerre » et de mener dorénavant une lutte purement politique.
Pour l’ancien président Ange Félix Patassé « le Dialogue Politique Inclusif ne doit pas être l’affaire du seul pouvoir avec les groupes politico-militaires ou l’affaire exclusive du pouvoir avec les partis politiques dits de la majorité présidentielle ou de l’opposition démocratique, encore moins une affaire d’intellectuels petit-bourgeois ».
« Le Dialogue politique n’est pas un tribunal, moins encore un lieu de règlement de comptes. L’issue du Dialogue Politique Inclusif ne doit pas être l’occasion de répartition des postes de responsabilité entre ses participants prosaïquement appelés le partage de gâteau. La République Centrafricaine n’est pas un gâteau, à la rigueur elle est une personne morale, voire physique », a-t-il précisé.
Selon lui, le DPI devrait être principalement « un lieu sincère de mea culpa et de repentir, de véritable et sincère pardon entre tous les enfants de la République Centrafricaine ».
« Le Dialogue Politique Inclusif doit être l’ultime occasion de poser sans complaisance le diagnostic de la République Centrafricaine depuis son accession à la souveraineté internationale afin d’y apporter des traitements appropriés sur des bases objectives et justes, dans un nouveau climat de complémentarité et de fraternité », a-t-il ajouté.
Il convient de signaler qu'avant l'ouverture solennelle du DPI, un huis-clos d'environ 3 quarts d'heure, a réuni les présidents François Bozizé et Ange Félix Patassé avec le président gabonais Omar Bongo Ondimba et le président de l'Assemblée Nationale centrafricaine, Leroy-Célestin Gaombalet.
C'est notamment le cas de maître Djovi Gally, envoyé spécial de l'OIF, qui a délivré un message du président Abdou Diouf demandant aux Centrafricains de "faire le bilan sans complaisance de 50 ans de vie commune" sans pour autant "se soustraire aux exigences du respect des institutions".
Ensuite, les représentants des différents groupes politico-militaires, à l’exception du Fdpc d’Abdoulaye Miskine, absent au rendez-vous de Bangui, ont tous pris l’engagement d’ « enterrer définitivement la hache de guerre » et de mener dorénavant une lutte purement politique.
Pour l’ancien président Ange Félix Patassé « le Dialogue Politique Inclusif ne doit pas être l’affaire du seul pouvoir avec les groupes politico-militaires ou l’affaire exclusive du pouvoir avec les partis politiques dits de la majorité présidentielle ou de l’opposition démocratique, encore moins une affaire d’intellectuels petit-bourgeois ».
« Le Dialogue politique n’est pas un tribunal, moins encore un lieu de règlement de comptes. L’issue du Dialogue Politique Inclusif ne doit pas être l’occasion de répartition des postes de responsabilité entre ses participants prosaïquement appelés le partage de gâteau. La République Centrafricaine n’est pas un gâteau, à la rigueur elle est une personne morale, voire physique », a-t-il précisé.
Selon lui, le DPI devrait être principalement « un lieu sincère de mea culpa et de repentir, de véritable et sincère pardon entre tous les enfants de la République Centrafricaine ».
« Le Dialogue Politique Inclusif doit être l’ultime occasion de poser sans complaisance le diagnostic de la République Centrafricaine depuis son accession à la souveraineté internationale afin d’y apporter des traitements appropriés sur des bases objectives et justes, dans un nouveau climat de complémentarité et de fraternité », a-t-il ajouté.
Il convient de signaler qu'avant l'ouverture solennelle du DPI, un huis-clos d'environ 3 quarts d'heure, a réuni les présidents François Bozizé et Ange Félix Patassé avec le président gabonais Omar Bongo Ondimba et le président de l'Assemblée Nationale centrafricaine, Leroy-Célestin Gaombalet.