vue de la salle, photo-acap_Soupou
Organisé par le gouvernement en partenariat avec les bailleurs de fonds, cette table ronde sectorielle regroupe les membres du gouvernement, les bailleurs de fonds et les acteurs du secteur privé qui vont définir les projets prioritaires de développement en matière de commerce.
Cette réunion vise également à identifier des partenaires potentiels ou futurs engagés à appuyer d’une manière rapide et opérationnelle les actions de développement en République Centrafricaine.
Le ministre d’Etat au Plan M. Sylvain Maliko a indiqué dans son mot d’ouverture que, compte tenu des performances enregistrées dans les réformes économiques et financières l’année passée, « l’année 2009 est un tournant important ».
Pour lui, cette table ronde sectorielle doit donner l’occasion de jeter les bases d’un partenariat solide. Car, selon lui, le redressement l’économie de la RCA nécessite « un partenariat fort avec des partenaires engagés ».
Le représentant résident du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), M. Steven Ursino a, quant à lui, exprimé la satisfaction de la communauté internationale pour la tenue du Dialogue Politique Inclusif (DPI) et des résultats encourageants obtenus en matière d’assainissement des finances publiques ces dernière années.
« Ces performances ont permis à la Centrafrique d’obtenir du Fonds monétaire international, la Facilité pour la réduction de la pauvreté et la croissance (FRPC), d’atteindre le point de décision de l’Initiative Pays pauvre très endetté (PPTE) », a-t-il déclaré.
« Nous sommes confiants qu’avec le maintien de ce cap des réformes, d’ici quelques mois, le pays pourra atteindre le point d’achèvement de l’initiative PPTE qui va lui ouvrir la voie à la réduction d’une partie importante de sa dette extérieure », a ajouté M. Steven Ursino.
Il a par ailleurs demandé au gouvernement de tout mettre en œuvre pour continuer à améliorer le cadre législatif et réglementaire du climat des affaires en République Centrafricaine avant d’exprimer la disponibilité des Nations Unies à appuyer la feuille de route qui sera mise en place pour le suivi des résultats de cette table ronde sectorielle.
Le représentant de l’Union Européenne, M. Jean Claude Esmieu, a pour sa part insisté sur l’importance de l’intégration régionale, qui selon lui est un outil essentiel dans la lutte contre la crise financière internationale qui affecte déjà les pays des la sous-région et l’amélioration de l’environnement des affaires.
Signalons que cette table ronde sectorielle est la toute première dans le cadre de la mise en oeuvre du DSRP.
Cette réunion vise également à identifier des partenaires potentiels ou futurs engagés à appuyer d’une manière rapide et opérationnelle les actions de développement en République Centrafricaine.
Le ministre d’Etat au Plan M. Sylvain Maliko a indiqué dans son mot d’ouverture que, compte tenu des performances enregistrées dans les réformes économiques et financières l’année passée, « l’année 2009 est un tournant important ».
Pour lui, cette table ronde sectorielle doit donner l’occasion de jeter les bases d’un partenariat solide. Car, selon lui, le redressement l’économie de la RCA nécessite « un partenariat fort avec des partenaires engagés ».
Le représentant résident du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), M. Steven Ursino a, quant à lui, exprimé la satisfaction de la communauté internationale pour la tenue du Dialogue Politique Inclusif (DPI) et des résultats encourageants obtenus en matière d’assainissement des finances publiques ces dernière années.
« Ces performances ont permis à la Centrafrique d’obtenir du Fonds monétaire international, la Facilité pour la réduction de la pauvreté et la croissance (FRPC), d’atteindre le point de décision de l’Initiative Pays pauvre très endetté (PPTE) », a-t-il déclaré.
« Nous sommes confiants qu’avec le maintien de ce cap des réformes, d’ici quelques mois, le pays pourra atteindre le point d’achèvement de l’initiative PPTE qui va lui ouvrir la voie à la réduction d’une partie importante de sa dette extérieure », a ajouté M. Steven Ursino.
Il a par ailleurs demandé au gouvernement de tout mettre en œuvre pour continuer à améliorer le cadre législatif et réglementaire du climat des affaires en République Centrafricaine avant d’exprimer la disponibilité des Nations Unies à appuyer la feuille de route qui sera mise en place pour le suivi des résultats de cette table ronde sectorielle.
Le représentant de l’Union Européenne, M. Jean Claude Esmieu, a pour sa part insisté sur l’importance de l’intégration régionale, qui selon lui est un outil essentiel dans la lutte contre la crise financière internationale qui affecte déjà les pays des la sous-région et l’amélioration de l’environnement des affaires.
Signalons que cette table ronde sectorielle est la toute première dans le cadre de la mise en oeuvre du DSRP.