Le Président Célestin Leroy Gaombalet a expliqué que le projet de loi des finances rectificative vise à revoir les prévisions budgétaires de l’année 2009, en prenant en compte l’impact des deux événements qui ont marqué l’actualité depuis l’adoption de la loi des finances de l’année en cours.
« Il s’agit tout abord de la crise financière internationale avec ses répercussions, notamment économique et sociale enfin l’atteinte du point d’achèvement de l’initiative des pays pauvres très endettés (IPPTE) », a-t-il indiqué.
Selon lui, « le contexte qui a entouré l’élaboration de ce projet de loi des finances rectificative a été marqué sur le plan extérieur par des mauvaises performances économiques dans toutes les régions du monde, consécutives aux effets pervers de la crise internationale, la montée du chômage, la baisse des prix de la plupart des matières premières et des produits de base et la poursuite des tensions inflationnistes ».
« Au plan intérieur par le ralentissement de l’activité économique imputable à la propagation de cette crise financière internationale en économie nationale, avec une conséquence principale : la baisse des recettes budgétaires consécutives au recul des exportations des produits miniers et forestiers », a déclaré en substance le Président Célestin Leroy Gaombalet.
Ce projet de loi des finances rectificative, a-t-il poursuivi, s’est également avéré indispensable pour prendre en compte les retombées budgétaires de la mise en œuvre de certaines recommandations du Dialogue Politique Inclusif, singulièrement la nécessité de mettre en place la Commission Electorale Indépendante (CEI) dont l’opérationnalité marquera incontestablement le coup d’envoi du processus électoral de 2010.
S’agissant de l’examen des deux projets de loi portant Code Pénal et Code de Procédure Pénale inscrits à l’ordre du jour, M. Gaombalet a affirmé que ces deux codes remontent au lendemain de la proclamation de l’Indépendance de notre pays en 1960 et qui sont fortement inspirés du droit politique français qui a lui-même considérablement évolué au cours des cinquante dernières années.
Il convient de noter que cette session prendra fin le 30 septembre 2009.
« Il s’agit tout abord de la crise financière internationale avec ses répercussions, notamment économique et sociale enfin l’atteinte du point d’achèvement de l’initiative des pays pauvres très endettés (IPPTE) », a-t-il indiqué.
Selon lui, « le contexte qui a entouré l’élaboration de ce projet de loi des finances rectificative a été marqué sur le plan extérieur par des mauvaises performances économiques dans toutes les régions du monde, consécutives aux effets pervers de la crise internationale, la montée du chômage, la baisse des prix de la plupart des matières premières et des produits de base et la poursuite des tensions inflationnistes ».
« Au plan intérieur par le ralentissement de l’activité économique imputable à la propagation de cette crise financière internationale en économie nationale, avec une conséquence principale : la baisse des recettes budgétaires consécutives au recul des exportations des produits miniers et forestiers », a déclaré en substance le Président Célestin Leroy Gaombalet.
Ce projet de loi des finances rectificative, a-t-il poursuivi, s’est également avéré indispensable pour prendre en compte les retombées budgétaires de la mise en œuvre de certaines recommandations du Dialogue Politique Inclusif, singulièrement la nécessité de mettre en place la Commission Electorale Indépendante (CEI) dont l’opérationnalité marquera incontestablement le coup d’envoi du processus électoral de 2010.
S’agissant de l’examen des deux projets de loi portant Code Pénal et Code de Procédure Pénale inscrits à l’ordre du jour, M. Gaombalet a affirmé que ces deux codes remontent au lendemain de la proclamation de l’Indépendance de notre pays en 1960 et qui sont fortement inspirés du droit politique français qui a lui-même considérablement évolué au cours des cinquante dernières années.
Il convient de noter que cette session prendra fin le 30 septembre 2009.