
"Ce décès devrait nous servir d’exemple, de catalyseur et de prise de conscience", a déclaré l'ancien ministre de l'Urbanisme, M. Jean Serge Wafio, qui intervenait au nom de la famille, après avoir précisé que Me Nganatouwa Wanfiyo Goungaye était un "homme de principe et de rigueur.
"Quand on est un homme de principe, ça signifie la rigueur et la rigueur ne plaît pas toujours", a-t-il conclu.
Pour Me Marie Edith Douzima Lawson, représentant les ONG de défense des Droits de l'homme, a relevé les caractéristiques de Me Nganatouwa Wanfiyo Goungaye dans le travail qui est entre autre la régularité, la promptitude et la discipline.
L'ambassadeur de France, M. Jean Pierre Vidon, a également rendu hommage à Me Nganatouwa Goungaye Wanfiyo avant de présenter le message de l'Union Européenne qui reconnait les valeurs et la détermination du défunt en matière défense des Droits de l'Homme.
"L’action de ce militant courageux dont l’engagement constant voué à la défense pour la promotion des droits de l’Homme en République Centrafricaine est reconnue de tous", a indiqué M. Vidon.
"Il militait notamment pour une justice pénale en faveur des victimes d’exaction à travers son soutien à l’action de la Cour Pénale Internationale. Cet engagement l’avait également conduit à prendre une part active au forum du dialogue politique inclusif qui vient de’ s’achever à Bangui" ,a conclu le diplomate français.
Avocat au barreau de Centrafrique, Me Nganatouwa Wanfiyo Goungaye est Président de la Ligue Centrafricaine des droits de l’homme, avocat auprès de la Cour Pénale Internationale sur la question des exactions commises en Centrafrique entre 2002 et 2003 et membre du groupe des sages pour la médiation en Centrafrique.
Rappelons que Me Nganatouwa Goungaye Wanfiyo a trouvé la mort dans un accident de la circulation le 27 décembre 2008 à 55 km de Bangui, alors qu'il rentrait de Sibut (188k, de Bangui) où il allait recueillir les derniers témoignages des victimes en vue de préparer l’audience de la CPI prévue début janvier et destinée à la confirmation des charges contre l’ancien Vice-Président de la République Démocratique du Congo, Jean-Pierre Bemba Gombo.
"Quand on est un homme de principe, ça signifie la rigueur et la rigueur ne plaît pas toujours", a-t-il conclu.
Pour Me Marie Edith Douzima Lawson, représentant les ONG de défense des Droits de l'homme, a relevé les caractéristiques de Me Nganatouwa Wanfiyo Goungaye dans le travail qui est entre autre la régularité, la promptitude et la discipline.
L'ambassadeur de France, M. Jean Pierre Vidon, a également rendu hommage à Me Nganatouwa Goungaye Wanfiyo avant de présenter le message de l'Union Européenne qui reconnait les valeurs et la détermination du défunt en matière défense des Droits de l'Homme.
"L’action de ce militant courageux dont l’engagement constant voué à la défense pour la promotion des droits de l’Homme en République Centrafricaine est reconnue de tous", a indiqué M. Vidon.
"Il militait notamment pour une justice pénale en faveur des victimes d’exaction à travers son soutien à l’action de la Cour Pénale Internationale. Cet engagement l’avait également conduit à prendre une part active au forum du dialogue politique inclusif qui vient de’ s’achever à Bangui" ,a conclu le diplomate français.
Avocat au barreau de Centrafrique, Me Nganatouwa Wanfiyo Goungaye est Président de la Ligue Centrafricaine des droits de l’homme, avocat auprès de la Cour Pénale Internationale sur la question des exactions commises en Centrafrique entre 2002 et 2003 et membre du groupe des sages pour la médiation en Centrafrique.
Rappelons que Me Nganatouwa Goungaye Wanfiyo a trouvé la mort dans un accident de la circulation le 27 décembre 2008 à 55 km de Bangui, alors qu'il rentrait de Sibut (188k, de Bangui) où il allait recueillir les derniers témoignages des victimes en vue de préparer l’audience de la CPI prévue début janvier et destinée à la confirmation des charges contre l’ancien Vice-Président de la République Démocratique du Congo, Jean-Pierre Bemba Gombo.