Mme Aïssatou Laba Touré a dans son exposé déclaré que la presse écrite centrafricaine fait partie intégrante des « activistes des droits de l’homme » et joue le rôle de « sentinelle de la démocratie ».
Elle s’est réjoui de l’environnement juridique favorable dont bénéficie la presse centrafricaine, notamment la dépénalisation des délits de presse, l’existence du Haut conseil de la communication (Hcc) qui est l’instance nationale de régulation des médias, ainsi que de l’Observatoire des médias centrafricains (Omca), qui sont autant de atouts offerts à la presse centrafricaine.
Cependant, a-t-elle regretté, « la presse centrafricaine présente des insuffisances d’ordre à la non maîtrise de la déontologie et de l’éthique professionnelle qu’il faut dénoncer ». Il s’agit selon elle de l’absence d’une définition claire de la profession, la vacuité de certains articles, le goût prononcé du scandale, le militantisme prononcé, la diffusion parfois de fausses informations, la manipulation, la diffamation, la corruption, etc.
Elle a également déploré le fait que les journalistes centrafricains abusent souvent de leur pouvoir au nom de « leur sacro-sainte liberté de la presse ». Pour Mme Touré la solution à tous ces problèmes qui minent la presse centrafricaine est la formation initiale ou continue, ainsi que les recyclages réguliers des professionnels de médias.
Elle a enfin regretté la quasi inexistence des femmes dans le monde des médias, alors que celles-ci ont, comme les hommes, le sens d’analyse des questions liées au développement.
Elle s’est réjoui de l’environnement juridique favorable dont bénéficie la presse centrafricaine, notamment la dépénalisation des délits de presse, l’existence du Haut conseil de la communication (Hcc) qui est l’instance nationale de régulation des médias, ainsi que de l’Observatoire des médias centrafricains (Omca), qui sont autant de atouts offerts à la presse centrafricaine.
Cependant, a-t-elle regretté, « la presse centrafricaine présente des insuffisances d’ordre à la non maîtrise de la déontologie et de l’éthique professionnelle qu’il faut dénoncer ». Il s’agit selon elle de l’absence d’une définition claire de la profession, la vacuité de certains articles, le goût prononcé du scandale, le militantisme prononcé, la diffusion parfois de fausses informations, la manipulation, la diffamation, la corruption, etc.
Elle a également déploré le fait que les journalistes centrafricains abusent souvent de leur pouvoir au nom de « leur sacro-sainte liberté de la presse ». Pour Mme Touré la solution à tous ces problèmes qui minent la presse centrafricaine est la formation initiale ou continue, ainsi que les recyclages réguliers des professionnels de médias.
Elle a enfin regretté la quasi inexistence des femmes dans le monde des médias, alors que celles-ci ont, comme les hommes, le sens d’analyse des questions liées au développement.