Il s’agit, au cours de cet atelier, de procéder à une évaluation à mis parcours des nombreuses activités prévues dès le lancement du projet à Brazzaville au Congo en février 2010 et exécuté au Congo, au Gabon et en République Centrafricaine ; tirer les leçons et réorienter les activités du projet qui prend fin en septembre 2012, c'est-à-dire dans sept mois.
M. Rubens Nambaï a déjà pensé aux « possibilités de mobilisation des ressources supplémentaires pour la consolidation des acquis de ce projet ou voir la mise en place d’une nouvelle phase de ce projet ».
M. Ousseynou Ndoye, représentant de la FAO, s’est quant à lui appesanti sur certaines réalisations en République Centrafricaine dont, entre autres, la sensibilisation des membres du comité consultatif sur le droit à une alimentation adéquate ; la formation des communautés sur l’analyse des marchés permettant de créer les petites et moyennes entreprises ; la formation des populations sur la récolte et la domestication des PFNL ; les publications d’articles sur les activités du projet.
Enfin, M. Nchoutponen Chouabou, représentant la Commission des Forêts d’Afrique Centrale (COMIFAC), a déploré le fait que les PFNL ne soient pas pris en compte dans les programmes de réduction de la pauvreté alors qu’ils procurent « de la nourriture, des plantes médicinales, des matériaux de construction, des équipements de pêche, des biens et ustensiles divers à la population ».
Pour rappel, le projet de la sécurité alimentaire et des produits forestiers non ligneux est financé par le ministère allemand de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Protection des consommateurs ; exécuté pour trois ans au Congo, au Gabon et en République Centrafricaine par le Fonds des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), en partenariat avec la COMIFAC.
M. Rubens Nambaï a déjà pensé aux « possibilités de mobilisation des ressources supplémentaires pour la consolidation des acquis de ce projet ou voir la mise en place d’une nouvelle phase de ce projet ».
M. Ousseynou Ndoye, représentant de la FAO, s’est quant à lui appesanti sur certaines réalisations en République Centrafricaine dont, entre autres, la sensibilisation des membres du comité consultatif sur le droit à une alimentation adéquate ; la formation des communautés sur l’analyse des marchés permettant de créer les petites et moyennes entreprises ; la formation des populations sur la récolte et la domestication des PFNL ; les publications d’articles sur les activités du projet.
Enfin, M. Nchoutponen Chouabou, représentant la Commission des Forêts d’Afrique Centrale (COMIFAC), a déploré le fait que les PFNL ne soient pas pris en compte dans les programmes de réduction de la pauvreté alors qu’ils procurent « de la nourriture, des plantes médicinales, des matériaux de construction, des équipements de pêche, des biens et ustensiles divers à la population ».
Pour rappel, le projet de la sécurité alimentaire et des produits forestiers non ligneux est financé par le ministère allemand de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Protection des consommateurs ; exécuté pour trois ans au Congo, au Gabon et en République Centrafricaine par le Fonds des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), en partenariat avec la COMIFAC.