Selon M. Daka Boel qui représentait le ministre de l’agriculture, « le secteur agricole occupe une place d’espoir dans l’économie de l’Afrique centrale. C’est sur ce secteur que nos gouvernements sont appelés à s'appuyer pour lutter contre la pauvreté en milieu rural et d’assumer la relance de nos économies ».
Mais les défis à relever sont énormes entre autres « l’institutionnalisation des coûts de l’engagement public par rapport à l’implication des organisations paysannes dans l’espace de négociation, l’accès aux moyenx de production des systèmes agrosylvopastoraux, la prévention de la sécurité alimentaire, et l’accès au crédit agricole », a-t-il poursuivi.
Mme Rachel Ningawon Mallo, présidente de l’association des femmes paysannes de Batangafo dans la préfecture de l’Ouham, s’est réjouie pour sa part des résultats obtenus au cours de cet atelier.
« Ces deux jours nous ont permis de voir comment nous pouvons nous organiser et nous mettre en groupement. Désormais les associations paysannes de Centrafrique ont un chapeau qui est la Cnopcaf, à qui nous avons confiance et espoir. Nos voix seront portées aux organisations internationales et nos intérêts seront défendus », a-t-elle souligné.
La présidente de la Cnopcaf, Mme Odette Guerel a également exprimé sa satisfaction est s'est félicité de la présence des institutions internationales à cette rencontre, notamment la Banque Mondiale, la Fao qui sont princiopaux bailleurs du secteur agropastoral. et espère une bon partenariat avec ces institutions.
Signalons que le document adopté et le plan d’action 2010 établis à l’issue de ces travaux seront présentés aux Organisations Internationales pour le plaidoyer pour la relance du secteur agricol et du monde rural en République Centrafricaine.
Mais les défis à relever sont énormes entre autres « l’institutionnalisation des coûts de l’engagement public par rapport à l’implication des organisations paysannes dans l’espace de négociation, l’accès aux moyenx de production des systèmes agrosylvopastoraux, la prévention de la sécurité alimentaire, et l’accès au crédit agricole », a-t-il poursuivi.
Mme Rachel Ningawon Mallo, présidente de l’association des femmes paysannes de Batangafo dans la préfecture de l’Ouham, s’est réjouie pour sa part des résultats obtenus au cours de cet atelier.
« Ces deux jours nous ont permis de voir comment nous pouvons nous organiser et nous mettre en groupement. Désormais les associations paysannes de Centrafrique ont un chapeau qui est la Cnopcaf, à qui nous avons confiance et espoir. Nos voix seront portées aux organisations internationales et nos intérêts seront défendus », a-t-elle souligné.
La présidente de la Cnopcaf, Mme Odette Guerel a également exprimé sa satisfaction est s'est félicité de la présence des institutions internationales à cette rencontre, notamment la Banque Mondiale, la Fao qui sont princiopaux bailleurs du secteur agropastoral. et espère une bon partenariat avec ces institutions.
Signalons que le document adopté et le plan d’action 2010 établis à l’issue de ces travaux seront présentés aux Organisations Internationales pour le plaidoyer pour la relance du secteur agricol et du monde rural en République Centrafricaine.