Cette assise selon le ministre Fidèle Gouandjika, a pour but de dresser le bilan des activités du bureau sortant et de traiter des questions diverses notamment la relecture des textes de base et la mise en place d’un mécanisme de ressources en vue d’une bonne gouvernance.
Aussi, de mettre en place définitivement un cadre de concertation et structure de représentation au niveau préfectoral et sous préfectoral
Abordant les conséquences de la crise internationale, le ministre Fidèle Gouandjika a fait remarquer qu’en République Centrafricaine de nombreuses personnes vivent et travaillent en milieu rural dont la majorité d’entre elles vivent dans l’extrême pauvreté
Pour lui, les paysannes et les paysans jouent un rôle clé dans la lutte contre la faim et la pauvreté. S’ils ne cultivent pas la terre, il n’y aura pas de nourriture. Le gouvernement estime que le renforcement des organisations permette d’obtenir un développement économique rapide et une meilleure répartition de revenue.
Pour ce fait, a-t-il conclu, le gouvernement salue cette initiative et encourage le renforcement des capacités des organisations d’exploitants des pêcheurs et éleveurs pour relever le défi et permettent leurs membres de saisir les nouvelles opportunités.
Il convient de rappeler qu’en 2009, le bureau de l’Organisation nationale des Femmes Rurales « Fleurs de Centrafrique » de concert avec l’appui de l’Union Européenne ; du Fonds International de Développement Agricole (FIDA) de la sous région Afrique Centrale et de Conseil Danois pour les Réfugiés (DRC), a mis en place les antennes préfectorales et sous préfectorales de Bouar, Baoro, Bossangoa, Bouca et Bambari et les points focaux : Mbaïki, Bozoum, Paoua, Ndjim, Ngaoundaye, Bocaranga et Koui.
Aussi, de mettre en place définitivement un cadre de concertation et structure de représentation au niveau préfectoral et sous préfectoral
Abordant les conséquences de la crise internationale, le ministre Fidèle Gouandjika a fait remarquer qu’en République Centrafricaine de nombreuses personnes vivent et travaillent en milieu rural dont la majorité d’entre elles vivent dans l’extrême pauvreté
Pour lui, les paysannes et les paysans jouent un rôle clé dans la lutte contre la faim et la pauvreté. S’ils ne cultivent pas la terre, il n’y aura pas de nourriture. Le gouvernement estime que le renforcement des organisations permette d’obtenir un développement économique rapide et une meilleure répartition de revenue.
Pour ce fait, a-t-il conclu, le gouvernement salue cette initiative et encourage le renforcement des capacités des organisations d’exploitants des pêcheurs et éleveurs pour relever le défi et permettent leurs membres de saisir les nouvelles opportunités.
Il convient de rappeler qu’en 2009, le bureau de l’Organisation nationale des Femmes Rurales « Fleurs de Centrafrique » de concert avec l’appui de l’Union Européenne ; du Fonds International de Développement Agricole (FIDA) de la sous région Afrique Centrale et de Conseil Danois pour les Réfugiés (DRC), a mis en place les antennes préfectorales et sous préfectorales de Bouar, Baoro, Bossangoa, Bouca et Bambari et les points focaux : Mbaïki, Bozoum, Paoua, Ndjim, Ngaoundaye, Bocaranga et Koui.