Selon un communiqué publié vendredi 13 février dans la soirée par le ministre délégué à la Défense, « les Forces Armées Centrafricaines (FACA) ont immédiatement répliqué, mettant en déroute les assaillants. A l’heure qu’il est, les FACA contrôlent l’ensemble de la situation ».
« Il s’agit, à n'en point douter, d'une agression destinée à compromettre les efforts que le gouvernement déploie sans cesse depuis quelques années afin de réaliser le vaste programme de la Reforme du Secteur Sécuritaire (RSS) pour laquelle une mission d’experts internationaux séjourne depuis plusieurs semaines à Bangui afin d’en évaluer le progrès », a fait remarquer le communiqué.
"Cet acte odieux qui intervient à un moment où les Centrafricains ont unanimement pris la résolution, au sortir des travaux du Dialogue Politique Inclusif (DPI) de mettre définitivement un terme à leurs différends et de restaurer un véritable climat de paix et de sérénité dans la pays" est de nature à freiner les actions de consolidation de la paix, ajoute le communiqué, qui appelle, par ailleurs, "la vaillante population de Bossembélé et des environs afin qu’elle puisse garder le calme et vaquer librement à ses occupations quotidiennes ».
Il convient de préciser que la Maison d’Arrêt de Bossembélé, cible des assaillants, renfermerait, selon le communiqué du gouvernment, de "redoutables criminels".
« Il s’agit, à n'en point douter, d'une agression destinée à compromettre les efforts que le gouvernement déploie sans cesse depuis quelques années afin de réaliser le vaste programme de la Reforme du Secteur Sécuritaire (RSS) pour laquelle une mission d’experts internationaux séjourne depuis plusieurs semaines à Bangui afin d’en évaluer le progrès », a fait remarquer le communiqué.
"Cet acte odieux qui intervient à un moment où les Centrafricains ont unanimement pris la résolution, au sortir des travaux du Dialogue Politique Inclusif (DPI) de mettre définitivement un terme à leurs différends et de restaurer un véritable climat de paix et de sérénité dans la pays" est de nature à freiner les actions de consolidation de la paix, ajoute le communiqué, qui appelle, par ailleurs, "la vaillante population de Bossembélé et des environs afin qu’elle puisse garder le calme et vaquer librement à ses occupations quotidiennes ».
Il convient de préciser que la Maison d’Arrêt de Bossembélé, cible des assaillants, renfermerait, selon le communiqué du gouvernment, de "redoutables criminels".